La paix et le but sont trouvés en Christ – Le témoignage de Chuck Vuolo

Catégorie: Témoignages

Donc laissez-moi brièvement vous raconter mon histoire. J’ai été élevé dans le nord du New Jersey dans une famille qui était théoriquement catholique. Mon père a été élevé comme un catholique italien et pour lui, ce fut suffisant que nous fassions notre première communion vers l’âge de 6 ans et après cela, nous sommes restés libres d’aller à l’église. Pendant mon adolescence, je me suis trouvé entrain de me poser certaines des questions basiques sur la vie. Pourquoi suis-je ici? Où vais-je? Que va t-il m’arriver quand je mourrai?

Et donc j’ai commencé à aller de moi-même à l’église catholique à environ 1500 mètres en traversant notre petite ville de 2 km carrés. Marchant vers l’église dans mon adolescence en posant ces questions. Mais je me rappelle y retournant semaine après semaine la tête aussi vide qu’au début. L’église catholique était pleine de cérémonies. C’était s’asseoir, de mettre à genoux, s’asseoir, se mettre debout, se mettre à genoux. Des prières ennuyeuses et monotones. Une lecture de l’Ecriture, qui semblait être un monde lointain. Et plutôt ironiquement la messe se terminait par le prêtre disant, « La messe est terminée, allez en paix. » Et la réponse de la congrégation était, « Que la grâce soit à Dieu. » Et la manière dont ils se levaient, partaient pour le parking, j’ai interprété cela comme signifiant que la messe était terminée, allez en paix, merci Dieu, c’est terminé. J’avais fait mes 45 minutes de religion pour la semaine et c’était fini. Et c’est comme cela que les gens le voyaient. Et c’est comme cela que je le voyais. Pas de réponses.

Mais grâce à la bonne providence de Dieu dans ces années d’adolescence, j’ai rencontré deux jeunes hommes près d’un étang où mon ami et moi avions l’habitude de faire du patin à glace et de jouer au hockey sur glace. Et ces gars avaient à peu près mon âge. J’aime pêcher. Et ces gars étaient non seulement des pêcheurs, ils étaient des pêcheurs, des chasseurs et des trappeurs dans la banlieue de Jersey nord. C’était comme si ces gars étaient nés dans un autre siècle. Mais ils sont devenus mes amis et nous avons commencé à pêcher ensemble et à travers eux, j’ai été exposé à un groupe de jeunes Baptistes. Et même si je suis sûr que c’était un tas de gamins immatures, beaucoup d’entre eux n’étaient même pas convertis, mais il y avait quelque chose de réel et d’authentique dans leur foi, que je n’avais jamais vu avant. Quand ils faisaient une simple prière pour un repas, c’était comme si Dieu était une personne réelle et qu’ils Le connaissaient. Et c’était différent de ce que j’avais connu dans l’église catholique et j’étais intrigué par leur vie. Ils avaient quelque chose que je n’avais pas et que je voulais. Or ils étaient amicaux envers moi. Mais d’une certaine manière j’avais le sentiment d’être en dehors entrain de regarder dans quelque chose dont je ne faisais pas partie. Et je savais que cela concernait Jésus.

Mais Dieu ne me l’a pas fait comprendre tout de suite. Je suis parti pour l’université très tôt à 16 ans. Mon première année s’est bien passée. Je faisais des études de psychologie simplement parce que pour moi, les personnes étaient plus intéressantes que les choses. Et donc laissez-moi faire des études de psychologie. Je n’avais aucune direction pour ma vie. Après cette première année, nous avons pris des vacances et sommes partis au Canada. J’ai rencontré une jeunne fille du Québec pour laquelle j’avais de l’intérêt. Un engouement, et vous savez, je suis allé là-bas et lui ai rendu visite sur ma moto. Et ensuite retour à l’université du Maryland pour ma seconde année d’université. Et cette année-là fut la pire année de ma vie. J’ai commencé une spirale descendante dans une dépression de plus en plus profonde. Une raison fut que cette relation avec cette fille au Canada ne fonctionnait pas, mais plus que ça, je n’avais aucun but ni signification à ma vie. Francis Schaeffer a décrit une fois ma vie comme quand vous prenez un collier de perles pour femme et vous coupez le fil et toutes les perles roulent ça et là sans aucun fil pour les attacher ensemble. Et c’était ma vie. Si vous regardiez chaque perle. J’avais des parents aimants, bien que non chrétiens. Vous savez, j’étais un bon étudiant. Je faisais du sport. J’avais des amis. J’ai rejoins une fraternité. Ma vie était équilibrée d’un point de vue extérieure mais il n’y avait aucun fil pour lier ma vie. Pourquoi étais-je là? Quel était le but de ma vie? Qu’allait-il se passer quand je mourrai?

Et donc j’ai commencé une descente en spirale dans la dépression. J’avais été dans l’équipe de lutte mais cette année-là, je n’avais aucune motivation, aucun dynamisme, et j’ai commencé, mais ensuite j’ai quitté l’équipe de lutte. Au second semestre, j’ai finalement échoué à un cours. Je n’avais même jamais échoué à un cours. Je ne suis même pas allé à l’examen final et c’était un signe que j’étais entrain de plonger dans une dépression profonde. C’était l’époque hippie. On était en 1970. Et vous savez, les gens couraient vers la Californie et je n’étais pas un hippie, je ne prenais pas de drogues, mais j’étais si désespéré que j’avais planifié à la fin de cette année-là, après la première semaine de mai, de sauter sur ma moto, et de courir en Californie. Ce qui était inhabituel pour moi. Je n’avais jamais fait de choses audacieuses. Je ne voulais pas blesser mes parents, je les aimais. Mais j’étais tellement déprimé, je voulais juste fuir.

, fut un jour d’une importance capitale dans ma vie. Je descendais vers la Baie de la Chesapeake dans le Maryland pour étudier pour un examen final. J’avais un frère de la fraternité à l’arrière de ma moto. Nous allions à la plage pour attraper des raies et étudier. Il y avait un ravin et je lui demandé de décamper et que je le retrouverai de l’autre côté. Et quand j’ai démarré le moteur, des flammes sont sorties du carburateur, pour une raison inconnue, et en quelques secondes mirent le feu à ce siège en caoutchouc peut-être que j’aurais pu l’éteindre si j’avais réfléchi rapidement. Mais je ne l’ai pas fait. J’ai laché la moto et nous l’avons regardé partir en flammes. Jusqu’à ce que nous soyons suffisamment courageux pour jeter du sable et de la poussière dessus et éteindre le feu après que la moto fut détruite, ce fut une masse de plastique et de caoutchouc mélangés. Des amis vinrent du campus avec un camion pickup, et nous ramenèrent, nous et la moto, au campus. Et je me rappelle trainant ma moto jusqu’à une des ces stations de lavage de voiture pour commencer à la nettoyer et la démonter. Ce fut il y a si longtemps, cela coûtait ceulement 25 cents. Mais je me rappelle, pensant que peut-être le Dieu de mes amis chrétiens dans le New Jersey avait la réponse pour moi. Et tout ce que je peux vous dire, les gars, c’est qu’à un certain moment dans la semaine suivante, Jésus Christ est venu dans ma vie. Je ne me rappelle pas avoir fait une prière mais j’en avais rassemblé assez sur l’Evangile. Je savais que cela concernait Jésus. Et tout ce que je peux dire, c’est que Dieu a dû me régénérer, me donner la foi et en cette première semaine, j’ai été changé pour toujours. La dépression s’est dissipée, la paix de Dieu est descendue dans ma vie. Je suis retourné à la maison dans le New Jersy, une nouvelle création en Christ il y a 47 ans et demi.

Et trois des choses qui ont marqué le changement dans ma vie furent celles-là. Numéro une, j’avais l’assurance que mes péchés étaient pardonnés. Je me rappelle, entrain de descendre l’autoroute à péage vers le New Jersey sur ma moto, vous savez avec des semi-remorques, et faisant des serments à Dieu, et je me rappelle pensant après la réparation de ma moto, « Je ne veux quand même pas glisser sur une flaque d’huile, mais si ça arrive, je vais au paradis. » Je savais que mes péchés étaient pardonnés.

Ensuite, Dieu m’a donné une faim pour la Bible. Nous n’avions pas de Bible dans notre maison, nous avons cherché partout, et j’ai trouvé ma première bible dans le compartiment à gants d’un camion de déménagement Mayflower que j’avais l’habitude de conduire pendant les étés, j’ai encore cette Bible. Une Bible King James avec le chapitre 5 de Jean manquant, il s’est passé deux ans avant que je ne lise Jean chapitre 5, parce que pour une raison quelconque, il avait été arraché. Mais une faim pour la Bible et si vous regardez cette première Bible elle est surlignée et souslignée, des astérisques, et des étoiles et des notes c’était juste la faim de ce bébé nouveau-né pour le lait de la Parole.

Et le troisième changement fut que je devins un témoin pour Jésus. Je n’ai jamais été une personne téméraire et ferme sur quoi que ce soit. Je n’avais aucune forte opinion sur quoi que ce soit. Je n’avais aucun message pour personne. Mais la compréhension que Jésus Christ était la clé pour l’éternité de chacun a transformé une personne en quelque sorte calme en une personne qui portait un cartable de tracts partout où il allait, et témoignait à toutes les personnes qu’il pouvait trouver. Et ce furent les choses qui ont marqué la preuve que Dieu m’avait donné une nouvelle vie.

Si quelqu’un est ici et que tu est dans cette même position, la vie peut être bonne, la vie peut être dure, mais il n’y a aucun but, aucune signification. « Pourquoi suis-je ici? » « S’il y a un Dieu, qui est-Il? » « Où vais-je aller quand je mourrai? »

Ma prière est que tu fasses appel à Jésus Christ. Celui qui a changé ma vie il y a 47 ans et demi. Et que tu connaisses la même expérience d’avoir Sa paix qu’Il m’a donnée. Je ne peux pas rendre compte de ma vie sauf pour le fait que Jésus est un Sauveur ressuscité et vivant. Rien de tout ceci n’est possible par vos propres moyens religieux. Je n’ai pas la force de me sortir de cela par moi-même. Jésus est venu et m’a visité dans le Middle Hall sur le campus de l’université Washington à Chestertown, Maryland il y a 47 ans et demi et m’a changé pour toujours. Si vous n’êtes pas chrétien, Il peut vous changer et vous sauver, faites appel à Lui.