Une brève histoire des réveils

Une brève histoire des réveils. Dieu a toujours amener des réveils aux âmes, aux églises, aux nations, à l’oeuvre missionnaire. Le Premier Grand Réveil, 1730 – 1780.

Dieu a toujours amener des réveils aux âmes, aux églises, aux nations, à l’oeuvre missionnaire. Le Premier Grand Réveil, 1730 – 1780. La Grande-Bretagne était finie moralement, vraiement horriblement pire que même ce que nous voyons maintenant en Amérique. Dieu a fait lever George Whitefield et les Wesley, Jonathan Edwards en Nouvelle-Angleterre. Et par la prédication et la prière du peuple de Dieu, Dieu a envoyé des rivières du ciel et a inversé le courant. ET l’Evangile a balayé les iles Britanniques. George Whitefield a préché à Boston quand la population était de 12 000 personnes. Et Benjamin Franklin a estimé qu’il y avait 14 000 personnes là-bas ce jour-là. Ils venaient de partout. C’était comme un feu de prairie. Bien après, 1857-58, La prière de réveil de Fulton Street . Combien d’entre vous la connaissez ? Fulton Street, Manhattan. Tout près du mémorial Ground Zero. Juste là-bas. L’Eglise Réformée de North Dutch, Fulton Street. Un jeune évangéliste – un missionnaire de la ville comme ils l’appelaient – Jeremiah Lanphier avait un fardeau. Il disait, vous savez, je pense que c’est une bonne idée peut-être de commencer une réunion de prière pour les hommes d’affaires. Il l’a fait. Il a posé des affiches. Et le premier jour, il était là et personne d’autre. Et ensuite, soudainement, deux sont entrés. Trois sont entrés. Cinq sont entrés. Et en quelques mois, autour de la ville de New York, il y avait 50 000 personnes en train de se rassembler à midi dans les réunions de prière. Ils ne pouvaient pas trouver d’immeubles assez grands pour les accueillir tous. Et ce réveil de prière, des centaines commencèrent à se convertir. Et en mois d’un an, il y eut 50 000 conversions enregistrées et les gens ont rejoint les églises évangéliques à l’époque où vous ne remontiez pas l’allée centrale, ne signiez pas une carte pour devenir un membre de l’église. Non, vous êtiez interrogés pour voir si votre profession était crédible. ont rempli les églises de la ville de New York et de la grande banlieue. Et ce réveil de prière s’est répandu vers l’ouest comme un feu de prairie. Tout autour jusqu’au sud du Texas jusqu’au bout en Californie, Dieu a allumé une énorme période de réveil dans la prière. Qui a avancé très rapidement. . Les iles Hébrides d’Ecosse. Duncan Campbell était un évangéliste. Il préchait en Angleterre, mais il y avait deux petites femmes en prière en Ecosse dans les Hébrides. Peggy et Sue ? (de la pièce) Catherine. Mack: Merci, l’historien. Peggy et Catherine. Peggy et Sue, c’est une chanson de western. Je suis désolé. En tout cas, deux petites femmes dont le ministère était l’intercession dans leur maison. Elles n’avaient jamais été mariées. Hey, messieurs et mesdames, si vous n’êtes pas mariés, Si Dieu ne le fait pas, donnez-vous au ministère de l’intercession. C’est le plus grand besoin. Beaucoup de jeunes gars veulent précher et enseigner. Combien d’entre eux veulent-ils se consacrer à une vie de prière ? Donc ces femmes ont commencé à prier. Elles avaient un fardeau. Et elles ont appelé leur pasteur pour qu’il vienne et elles ont dit, nous croyons que Dieu veut amener Duncan Campbell ici. Voudriez-vous lui envoyer un télégramme ou autre chose ? Bon, il respectait ces femmes, alors il l’a fait. Campbell a répondu, je ne pourrai pas venir avant deux ans. Mon planning est complet. Donc le pasteur revient et le dit aux femmes. A cela, une d’entre elles répondit, c’est ce que dit Duncan Campbell, mais Dieu dit qu’il vient. Il est en train de précher sur une estrade dans une conférence en Angleterre. Il est supposé apporter le message de clôture et il est tellement accablé par ce fardeau qu’il devait partir et aller en Ecosse. Il le fait. Il part. Finalement, monte dans un bateau pour aller dans les Iles Hébrides. Il arrive, je ne sais pas, deux jours, trois jours plus tard. Il descend du bateau et il y a un homme debout là qui dit, « Etes-vous M. Campbell ? » « Marchez-vous avec Dieu ? » « Bon, il y a une réunion dans l’église, ce soir, où vous allez précher. » Il a dit, « Comment saviez-vous que j’allais venir ? » Il a dit, « Comment saviez-vous que vous deviez venir ? » Dieu était à l’oeuvre. Et l’Esprit de Dieu a balayé les iles Hébrides. Beaucoup, beaucoup de conversions. Je n’ai pas le temps de raconter cette histoire. Avançons, 1971, le Canada occidental. Bill McLeod. Ils étaient dans une croisade – deux semaines de réunions. L’Esprit de Dieu est descendu. Et des centaines furent convertis. Ils ne pouvaient pas trouver d’immeubles assez grands pour les foules qui commençaient à venir. Et cela a balayé le Canada occidental et des parties des états du Nord, les états du nord de l’Amérique. Dieu a toujours amené les réveils. Et quand le Saint Esprit vient, Il vient soudainement, de façon étonnante, mystérieuse. Quelques fois comme une douce brise, quelques fois comme un vent tourbillonnant. C’est comme une boule de neige descendant en roulant sur une montagne couverte de neige. Elle grandit. C’est comme une pluie douce et légère qui augmente et plus de personnes continuent à venir jusqu’à ce qu’un déluge les trempe tous. Le vent soufflait. C’est comme cela que vous expliquez la Pentecôte. Le vent soufflait. Actes 4, ils priaient. La maison trembla. Et ils sont tous remplis de l’Esprit de Dieu. Le vent soufflait. Nous avons besoin, frères et soeurs, que le vent souffle. Votre église en a besoin. Notre église en a besoin.