Si quelqu’un se rend compte qu’il est perdu et qu’il ne lui reste plus beaucoup de temps à vivre, que doit-il faire ? Doit-il abandonner et se résigner à être perdu ? Doit-il attendre que Dieu le régénère ? Doit-il essayer d’avertir d’autres personnes, tout en restant lui-même perdu ?
« Cher pasteur Tim, Je suis malade depuis plusieurs mois. Un chrétien de nom, c’est-à-dire Pas un chrétien. » En d’autres mots… un chrétien de nom, ce n’est pas un chrétien. « …pendant la plus grande partie de ma vie. J’ai récemment pris connaissance de votre chaîne YouTube et je suis parvenu à la conclusion que je suis très probablement non régénéré, avec la connaissance de ce que cela implique. (être non régénéré) Cependant, je nourris encore des doutes. Dans le temps qu’il me reste… »
Tim : On dirait donc qu’il suppose qu’il s’agit peut-être d’une maladie en phase terminale. « Dans le temps qu’il me reste, que devrais-je faire ? Comme je suis écrivain, devrais-je utiliser cette prise de conscience pour informer les autres de ce à quoi conduit l’acceptation du péché ? Ou s’agit-il d’une démarche inutile ? Je m’inquiète également qu’une révélation publique pourrait jeter l’opprobre sur ma famille, en particulier ceux qui sont des chrétiens engagés ». Je pense que ce qu’il dit là, c’est si je rendais public que je n’étais pas vraiment sauvé, Je crains que ce type de confession ou d’admission publique pourrait jeter l’opprobre sur ma famille, en particulier ceux qui sont des chrétiens engagés. Qu’en pensez-vous ? Ce type est en face de vous.
(De la salle) Je ne comprends pas bien. Est-il en train de dire que la révélation publique était en rapport avec sa maladie ?
Tim : Je pense au fait de ne pas être régénéré. C’est du moins ce qu’il dit. Permettez-moi donc de revenir sur ce point. « Je suis malade depuis plusieurs mois. Un chrétien de nom, c’est-à-dire, pas un chrétien, pour la plus grande partie de ma vie. J’ai récemment pris connaissance de votre chaîne YouTube, et j’en suis arrivé à la conclusion que je suis très probablement non régénéré, avec la connaissance de ce que cela apporte – même si je nourris encore quelques doutes. Dans le temps qu’il me reste, que devrais-je faire ? Comme je suis écrivain, devrais-je utiliser cette prise de conscience pour informer les autres de ce à quoi conduit l’acceptation du péché ? Ou s’agit-il d’une démarche inutile ? Je m’inquiète également d’une révélation publique… »
Tim : maintenant, il pourrait s’agir d’une révélation publique de l’acceptation du péché. C’est peut-être aussi de cela qu’il parle. Que s’il se mettait à écrire ouvertement sur ce qu’est l’acceptation du péché, et s’il confessait le péché qu’il avait accepté, cela pourrait être la révélation publique qui jetterait l’opprobre sur sa famille, en particulier ceux qui sont des chrétiens engagés. Voilà, vous l’avez. Vous avez des bibles ? Qu’en dites-vous ? Que faites-vous ? Où allez-vous ?
(De la salle) Je pense que la première chose qu’il doit faire est – il dit qu’il n’est pas chrétien, donc, confesser le Seigneur Jésus comme son Sauveur. Tout d’abord.
Tim : Donc, il dit qu’il n’est pas chrétien. Et c’est intéressant. Voici quelque chose qui me saute aux yeux. C’est ce qu’il dit, « J’en suis arrivé à la conclusion que je suis très probablement non régénéré ». Je m’inquiète lorsque quelqu’un dit cela de lui-même. Qu’en pensez-vous ?
(De la salle) Parce qu’ils ne reconnaissent pas vraiment leur état de perdition ; il semble qu’ils ne soient pas tout à fait honnêtes.
Tim : Quand les gens commencent à parler de régénéré et non régénéré, c’est mon sentiment, que c’est la faute de Dieu. Ou qu’ils le mettent sur le dos de Dieu. Maintenant, regardez, c’est vrai, quelqu’un est régénéré ou non régénéré. Mais vous savez à quoi je pense ? Regardons Jean 3. Nous devons garder Jean 3 à l’esprit. Parce que c’est notre Seigneur qui s’occupe d’un homme perdu. Il se renseigne. Mais, alors qu’Il traite de ce qu’est la nouvelle naissance… Je sais que nous n’avons pas le langage de régénération et non régénération ici, mais nous obtenons une terminologie synonyme. Le langage des nés de nouveau. Mais remarquez le déroulement, Jean 3, Verset 1 – Un homme nommé Nicodème, un chef des Juifs; – cet homme vint à Jésus de nuit. « Rabbi, nous savons que Tu es un docteur venu de Dieu. » – « En vérité, en vérité, Je te le dis, si un homme ne naît de nouveau, il ne peut voir le royaume de Dieu. » Bon, Nicodème commence à poser des questions ici. « Comment un homme peut-il naître quand il est vieux ? Peut-il rentrer dans le sein de sa mère et naitre? » Jésus répond, verset 5, « Je te le dis, si un homme ne naît d’eau et d’Esprit, il ne peut entrer dans le royaume de Dieu. » « Cze qui est né de la chair est chair, et ce qui est né de l’Esprit est Esprit. Ne t’étonne pas que Je t’aie dit : Il faut que vous naissiez de nouveau. » Verset 8, « Le vent souffle où il veut, et tu en entends le bruit; mais tu ne sais d’où il vient, ni où il va. Il en est ainsi de tout homme qui est né de l’Esprit. » Et voyez, ce qu’Il fait ici, c’est qu’Il conçoit le salut comme une nouvelle naissance, être né de l’Esprit, l’Esprit est comme le vent, l’Esprit souffle où Il veut. Vous en voyez les effets, mais vous ne pouvez voir le vent. Vous ne pouvez pas voir l’Esprit. Mais vous pouvez en voir les fruits. Ses fruits, c’est qu’une personne est rendue vivante. Elle est née de nouveau. C’est par l’Esprit. Ce n’est pas quelque chose que nous faisons arriver. C’est quelque chose que l’Esprit fait arriver. « Et Nicodème lui a dit, comment cela peut-il se faire? Tu es le docteur d’Israël, et tu ne sais pas ces choses ? » En d’autres mots, tu es un docteur en Israël, il y a suffisamment de lumière sur ce sujet dans les Ecritures de ton Ancien Testament pour que tu saches ce que c’est. Et Il continue ici. Le fait est qu’Il ne le quitte pas à ce stade. Il ne met pas fin à la conversation. Tu n’es pas né de l’Esprit, et donc, rester assis là et attendre que Dieu le fasse pour vous. C’est intéressant. Jésus n’a pas de problème à sortir du royaume de ce que Dieu fait pour aller dans le royaume de la responsabilité. Il s’y intègre parfaitement. Dans Son propre enseignement, dans Son propre esprit, dans Sa propre logique, il n’y a pas de choc ici pour Lui. C’est tout naturellement qu’Il s’inscrit dans cette démarche. Et Il dit, au verset 14, « Et comme Moïse éleva le serpent dans le désert, il faut de même que le Fils de l’Homme soit élevé, afin que quiconque croit en Lui ait la vie éternelle. » Regardez, c’est intéressant. Vous devez naître de nouveau. Mais voici la réalité, le Fils de l’Homme va être élevé, tout comme le serpent a été élevé dans le désert par Moïse. Et quiconque regarde, tout comme à l’époque là-bas, quiconque regardait le serpent était guéri. Cela préfigurait le Christ partout. Et c’est l’image ici. Le Fils de l’Homme va être élevé, et quiconque croit va avoir la vie éternelle. « Car Dieu a tant aimé le monde qu’Il a donné Son Fils unique, afin que quiconque croit en Lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle. Dieu, en effet, n’a pas envoyé Son Fils dans le monde pour qu’Il juge le monde, mais pour que le monde soit sauvé par Lui. Celui qui croit en Lui n’est point jugé; mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu’il n’a pas cru au nom du Fils unique de Dieu. » Bon, ensuite Il continue en disant ceci : « Et ce jugement c’est que, la lumière étant venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière, parce que leurs oeuvres étaient mauvaises. Car quiconque fait le mal, hait la lumière, et ne vient point à la lumière, de peur que ses oeuvres ne soient dévoilées; mais celui qui agit selon la vérité vient à la lumière, afin que ses oeuvres soient manifestées, parce qu’elles sont faites en Dieu. » Donc vous avez un homme ici qui dit, au fond, – c’est presque comme s’il avait démissionné. Je pense que je ne suis pas régénéré, et donc que devrais-je faire? Devrais-je prendre mon stylo et commencer à écrire? Comme quoi? Pour avertir les gens que si vous acceptez le péché comme je l’ai fait, vous finissez par être malade et ? Il est peut-être atteint d’une maladie liée au péché qu’il a accepté? Et maintenant il est en train de mourir? Je veux dire que l’on peut en quelque sorte assembler des pièces. Vous pouvez peut-être voir ce que cela donne. Mais il ne se qualifie pas d’incroyant. Vous voyez, quand vous vous dites incroyant, cela implique une grande responsabilité. Si vous dites : « Je suis un incroyant ». Eh bien, vous voyez, maintenant vous mettez vraiment ça plus à votre compte. Ou si vous dites : « Je ne me repens pas ». C’est vraiment mettre la chose beaucoup plus sur son propre dos. Dire que vous n’êtes pas régénéré, c’est dire que Dieu ne m’a pas fait naître de nouveau. Dieu ne m’a pas régénéré. Cela saute aux yeux. Je ne sais pas ce qu’il voulait dire par là. Mais il a cette saveur hyper-calviniste que peut-être, il n’y a pas grand chose que je puisse faire. Je dirais à un homme comme celui-ci, c’est presque comme, et bien, je ne suis pas chrétien, je ne suis pas régénéré, et… C’est presque comme si je ne peux rien faire pour ça, alors je devrais juste continuer ma vie comme ça et s’il vous plait donnez-moi un conseil sur ce que je devrais faire. N’est-ce pas un peu ce que l’on ressent ? Je pense que vous exercez une pression sur l’homme. Quelqu’un peut-il réfléchir à un endroit dans l’Ecriture qui pousse à l’urgence?
(De la salle) Aujourd’hui est le jour du salut.
Tim: Savez-vous où c’est? Dans le Nouveau Testament, on le trouve dans 2 Corinthiens 6:2, je crois.
(De la salle) Car Il dit, « Au temps favorable Je t’ai exaucé, au jour du salut Je t’ai secouru. Voici maintenant le temps favorable, voici maintenant le jour du salut. »
Tim: « Voici maintenant le jour du salut. » Nous voulons mettre la pression sur les gens. Il y a une urgence. Nous ne savons pas si un homme a un lendemain. Nous ne savons pas si une femme a un lendemain. Il doit y avoir une urgence. Si vous parlez à ce gars, c’est comme, pourquoi vous tenez-vous là? Pourquoi restez-vous calme? Pourquoi vous tenez-vous au bord de la destruction et vous tenez-vous là, réfléchissant pour savoir si vous devriez commencer à écrire? Ce qui est important dans votre vie maintenant n’est pas que vous soyez un écrivain ou pas. Votre plus grand besoin maintenant est d’être sauvé. Votre plus grand besoin maintenant est que vous êtes au bord de la destruction. Il y a une urgence. Vous voulez parler à ce gars plus comme l’auteur des Hébreux parlait à ceux à qui il écrit. Il y a une urgence. « C’est une chose terrible de tomber entre les mains du Dieu vivant. » Et vous n’êtes pas sauvé par votre propre admission. Ecoutez, les Ecritures parlent de fuir la colère qui vient. Les Ecritures parlent d’aller à Christ. Les Ecritures parlent de ce qu’un homme doit faire pour être sauvé. Que puis-je faire pour être sauvé? Paul ne dit pas: rien. Bon, vous n’êtes pas régénéré. Asseyez-vous juste là et prenez votre stylo et commencez à écrire aux membres de votre famille. Il n’a pas dit ça. Croyez au nom du Seigneur Jésus Christ. Il n’y a pas sous le ciel d’autre nom donné aux hommes par lequel nous devons être sauvés. Vous ne voulez pas mépriser ça. Vous ne voulez pas mépriser un si grand salut que celui-là. Vous voulez l’urgence. C’est ce que vous voulez faire avec les gens qui, au fond, viennent… Bon, vous savez, je ne pense pas être sauvé, mais quoi? Bon, s’il n’y a pas d’urgence, ou s’ils ne posent pas du tout de questions. Sa question n’est pas, que dois-je faire pour être sauvé, comme le geolier de Philippes. Sa question est, devrais-je écrire? C’est presque comme s’il jetait l’éponge. C’est presque comme s’il écrit, bon, vous savez quoi, je ne suis pas régénéré. J’ai cette maladie. Il ne me reste pas longtemps à vivre. Y a-t-il une bonne chose que je puisse faire avec le reste de ma vie? C’est un peu l’impression que cela donne. Vous ne devez pas penser à écrire. Vous ne devez réfléchir à rien sauf une chose. Vous êtes en train de périr. Vous avez des problèmes. Il ne semble pas qu’il vous reste beaucoup de temps. Vous voulez insister sur ce point que, voici maintenant le jour du salut. Maintenant. Maintenant. Maintenant. Maintenant. Frères, une des choses, nous en avons parlé à différents moments. Mais vous savez ce qu’il faut aussi écouter ? Vous avez le sentiment très souvent que les gens se regardent pour savoir s’ils sont régénérés. Ou, ils se regardent pour savoir, vous savez, je pense que je le suis; Je ne suis pas tout à fait sûr d’en faire partie. Frères, la foi qui sauve, ce n’est pas croire que vous êtes sauvé. La foi qui sauve, c’est croire que Jésus Christ est tout ce que les Ecritures disent. Ce n’est pas comme si vous deviez croire à tout. Mais la foi qui sauve, c’est croire et jeter votre espérance sur, votre foi en ce Christ qui est révélé dans les pages des Ecritures. C’est le sujet. Frères, pour moi, c’est une aide précieuse. Regardez Jean 20. Si votre Bible est comme la mienne, les deux derniers versets sont en fait un paragraphe en eux-mêmes. Jean a encore un chapitre après celui-là, mais écoutez ceci: C’est Jean 20:30. « Jésus a fait encore, en présence de Ses disciples, beaucoup d’autres miracles, qui ne sont pas écrits dans ce livre. Mais ces choses ont été écrites afin que vous croyiez que Jésus est le Christ, le Fils de Dieu, et qu’en croyant vous ayez la vie en Son nom. » Ecoutez, régulièrement, et c’est ce qu’ils sont tous. Et nous recevons beaucoup, beaucoup de mails. Et je suis sûr que je ne vois que la partie émergée de l’iceberg, comparé à ce que voit James. Les gens qui, eux, sont partout. Ils pensent qu’ils sont sauvés ou qu’ils ne le sont pas. Ils se battent. Ils ont cru être sauvés à un moment donné, maintenant ils pensent qu’ils ne le sont pas. Ils ont examiné les tests d’assurance dans les Écritures, ou dans un message, et maintenant ils croient qu’ils ne sont pas convertis. Ou ils ont essayé de se repentir mais n’y sont pas parvenus. Ou ils ont essayé de croire et Dieu ne les sauve pas. Nous recevons ce genre de choses tout le temps. Écoutez ce que dit Jean. Vous vous demandez quoi dire aux gens. Réfléchissez avec moi. Ces signes, Jean les a consignés, pour que nous voyions ces choses, que nous voyons le Christ qui a fait ces choses, et nos esprits s’engageraient dans ces œuvres et verraient de quel genre de Christ il s’agit, et croiraient ce Christ, croiraient en Lui comme le Fils de Dieu, et en croyant, auraient la vie éternelle. (Il y a une place juste ici, soeur, si cela ne te dérange pas d’avancer devant.) Donc, réfléchissez avec moi là. Récemment, un gars m’a écrit et m’a dit, que suis-je supposé faire? Ne me dites pas de me repentir et de croire. Voici ce qu’il a dit. Il a dit parce que, si c’était aussi simple, il y aurait toutes sortes de gens en train de le faire. Et il a essayé de le faire et il dit que ça ne fonctionne pas. Ecoutez, frères. C’est ce que disent les Ecritures. Et les gens dans les Ecritures qui se repentent et croient sont sauvés. Mais le problème est que les gens pensent qu’ils font quelque chose qui n’est pas ce qu’ils pensent qu’ils font. Mais je dirais ceci, beaucoup de gens se préoccupent de savoir s’ils croient réellement ou non. Et ils essaient toujours de découvrir s’ils croient réellement. Et regardez, ce qu’ils font, c’est – leur problème réel est, croient-ils qu’ils sont des croyants? Et donc ils examinent constamment ça et se demandent constamment comment ils se sentent, et regardent constamment divers fruits et diverses émotions et divers sentiments, et ils ont des idées sur ce qui va se passer quand ça arrivera réellement. Et ils n’ont pas l’impression d’avoir eu cette certaine expérience qu’ils pensent évidemment qu’ils vont avoir. Mais frères, la foi qui sauve n’est pas d’en arriver à croire que vous avez eu une certaine expérience. Ce n’est pas arriver à croire que vous êtes un croyant. Vous savez quoi? Vous avez peut-être de sérieux doutes sur le fait que vous soyez un vrai croyant, mais si votre foi est fermement plantée en Christ, vous êtes sauvé. Parce qu’Il est le Sauveur. Il est la réponse. Comme Charles Leiter à propos du pont – rappelez-vous le pont pourri face à ce grand et solide pont à poutrelles d’acier? Votre foi peut être si hésitante et faible, mais si vous vous engagez sur ce pont, il va vous tenir. Vous pouvez être toujours aussi confiant, marcher sur le pont pourri et vous allez plonger vers votre mort. Réfléchissez à ce que fait Jean. J’ai placé ce Christ devant vous. J’ai écrit ces choses. Ce que je dirais à cet homme, je le dis aux gens. Cet homme qui a dit, ne me dites pas, c’est se repentir et croire. Il y a plusieurs mois, je l’ai envoyé dans le livre de Jean. Je lui ai dit, étudiez le livre de Jean. Et j’ai dit, invoquez ce Christ. Quelqu’un aurait-il quelque chose d’autre à dire à cet homme ?
(de la salle) Si l’aveugle guide l’aveugle, les deux tomberont dans la fosse. L’idée qu’il aille faire des écrits pour aider les gens, c’est l’orgueil, le pharisaïsme, c’est juste fou.
Tim : Oh oui, si nous voulons nous attaquer à cette partie du problème, lui, écrivant et cherchant à aider les gens… Pour lui, essayer d’aider les gens à ne pas périr quand lui-même, il n’a pas le remède il ne va pas être un témoin très efficace. Voici un homme qui, semble-t-il, n’a plus beaucoup de temps à vivre. Il est en train de s’installer dans ce fait : je ne suis pas régénéré. Mais réfléchissez aux passages qui invite les pécheurs à venir. Donnez-m’en un. Apocalypse 21. Qu’est-ce que ça dit? Il y en a un dans Apocalypse 21. Il y en a un là – gratuitement.
(De la salle) (Pensée incomplète) Ce n’est pas le bon – c’est dans 22.
Tim: Bon, il y en a un aussi dans 21. Mais n’hésitez pas à lire celui du 22, si vous le trouvez. Apocalypse 22:17 « Et l’Esprit et l’Epouse disent: Viens. Et que celui qui entend dise: Viens. »
Tim: L’Esprit dit, viens. L’Epouse, c’est l’Eglise, nous disons, viens. Quiconque veut. Et vous devez venir gratuitement. Il y a une autre invitation à venir. Matthieu 11 « Venez à Moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et Je vous donnerai du repos. Prenez Mon joug sur vous et recevez Mes instructions, car Je suis doux et humble de coeur, et vous trouverez du repos pour vos âmes. » Quelqu’un peut-il en trouver un autre ? Esaïe 55 « Vous tous qui avez soif, venez aux eaux, même celui qui n’a pas d’argent! Venez, achetez et mangez,… » Quelqu’un d’autre pense à un verset? Rappelez-vous ce que Jésus a dit dans Jean 7? Le grand jour de la fête, Il s’est levé et Il a crié. Quelqu’un se souvient-il de ce qu’Il a dit ? Si quelqu’un a soif, qu’il vienne. Venez à Moi et buvez. Vous pensez à d’autres invitations? Réfléchissez avec moi ici. Que dois-je faire pour être sauvé? Le banquet des noces. Luc 14 Esaïe 51 Ecoutez-Moi, vous qui poursuivez la justice; vous qui cherchez l’Eternel. Mais réfléchissez avec moi, que dois-je faire pour être sauvé? La réponse n’est jamais: rien. Maintenant, cela ne veut pas dire que vous allez travailler pour vous sauver. Mais c’est toujours d’aller à Christ. C’est toujours de fixer vos yeux sur Christ. C’est toujours de trouver votre espérance en Lui. C’est toujours de Le voir comme Celui qui donne le repos. Il est Celui qui donne à boire. Il est Celui qui donne le repos. Il n’y a pas d’autre nom que le Sien. C’est seulement Son nom par lequel je dois être sauvé. C’est croire en Lui. C’est venir à Lui. C’est ça. Ce n’est jamais: ne faites rien, mais ce n’est jamais: faites quelque chose par votre propre force. Ce n’est jamais: vous essayez de vous sauver vous-mêmes. Ce n’est jamais: vous essayez de faire des oeuvres qui vont vous faire entrer. C’est toujours: vous ne pouvez rien faire, vous allez gratuitement et vous suivez Christ. C’est toujours ça. Christ appelle toujours les hommes à Lui. C’est toujours ça.
