Mourir à la gloire de Dieu

Jean 21:18-19 « En vérité, en vérité, Je te le dis, quand tu étais plus jeune, tu te ceignais toi-même et tu allais où tu voulais; mais quand tu seras vieux… » Donc encore, Pierre devait être d’âge moyen, non? Il n’était pas jeune et il n’était pas vieux. « mais quand tu seras vieux, tu étendras tes mains, et un autre te ceindra, et te ménera où tu ne voudras pas. » C’est-à-dire, où vous ne souhaitez pas aller naturellement. Avant que Pierre ne soit chrétien, quand il était jeune, il allait où il voulait. Sa propre volonté, son propre chemin, son propre souhait. Maintenant en tant que chrétien, il va être dirigé. Le Seigneur prophétise qu’il sera mené là où il ne veut pas naturellement aller. De quoi parle-t-Il? Le verset 19 nous donne la réponse. « Il dit cela pour indiquer par quelle mort Pierre glorifierait Dieu. » Donc le Seigneur parlait de dire à Pierre: tu vas mourir d’une mort violente. Cela va être un départ violent pour toi, et que cela grlorifierait Dieu. « Et ayant ainsi parlé, Il lui dit: suis-Moi. » « Et ayant ainsi parlé, Il lui dit: suis-moi. » La pensée que j’aimerais apporter ici c’est mourir pour la gloire de Dieu. Mourir pour la gloire de Dieu. Cinq points. Numéro un: la certitude de la mort. Je veux dire Pierre, tu vas mourir. Le Seigneur lui dit à l’avance. Tu vas mourir. Il le savait, mais le Seigneur lui disait, et ainsi est-ce pour nous – chacun de nous ici – à moins que le Seigneur ne vienne en premier quand nous serons encore vivants et seront enlevés, nous mourrons. Nous pensons toujours que cela va être quelqu’un d’autre qui va mourir, mais non, je mourrai. Je mourrai. Et nous devrions être toujours conscients de ça. Conscients de la mort, conscients que notre chair est faible et que nos jours sont peu nombreux et que cette mort est certaine et le jugement est juste et l’éternité est longue et ce monde n’est rien qu’un vestiaire pour se préparer à l’éternité. Préparer, préparer, préparer. Et il n’y a aucun préparation en dehors du fait d’être en union avec Christ, mais par Lui nous pouvons nous préparer et nous pouvons mourir d’une manière glorieuse. Donc la mort est certaine. La mort. Le péché est entré dans dans la race humaine, non? Romains 5:12, « Le péché est entré. » Une invasion. « Et le péché est entré dans la race humaine et avec lui la mort aussi, » et il est dit, « La mort s’est étendue sur tous les hommes. » Juste comme une maladie, la mort s’est étendue sur tous les hommes. Dit dans un autre endroit, il parle du règne du péché et de la mort. C’est votre vision du monde ? Que ce monde est un monde mauvais dirigé par le péché, et dirigé par la mort comme s’ils étaient deux co-tyrans là-bas gérant, dirigeant, règnant sur ce monde présent. La mort est certaine et la mort s’est répandue. Et j’ai dit ceci avant, j’y pense juste sans arrêt, la ferme où j’ai grandi dans le nord-ouest de l’Iowa. Je pouvais aller de cette ferme jusqu’à cette route de gravier dans les deux sens et je pouvais citer les noms, je ne sais pas, peut-être de 25 ou 30 fermiers qui étaient les amis de mon père et maintenant ils sont partis. Axel Rasmussen, parti. Harry Davis, parti. Floyd Thompson, parti. Ed Quartus, parti. Zeek Welch, parti. Maldi Peeper, parti. Merv Waring, parti, et je pourrais continuer à descendre la route. Ils étaient là, mais ils sont partis. Ils sont partis. Je les connaissais. Je peux les voir dans mon esprit. Je peux entendre leur rire. Ces chers hommes et leurs femmes, mais ils sont partis. Certains d’entre eux dans tant de cas, même leur place est partie. Et donc, la mort est certaine. J’ai entendu aux nouvelles l’autre jour au sujet de ce type. Il avait 110 ans. Ils l’appelaient un des hommes les plus forts du monde. Et il était encore là à l’âge de 110 ans, il était encore fort et il avait l’habitude de plier des pièces de monnaie. Maintenant, il pouvait seulement plier des pièces de 25 cents. A 110 ans! Mais il traversait la rue et une voiture l’a renversé et il est parti. je lisais sur ce type appelé Angus McCaskill. Cela s’écrit un peu différemment du politicien, mais il a grandi dans le nord de l’Ecosse aux Hébrides. Il est mort vers 1900. Sa mère était une Campbell – Duncan Campbell l’a sans doute connu. Mais ils disaient qu’il était l’un des hommes les plus forts du monde. Il a grandi pour atteindre une taille d’environ 2.43m. Et ses épaules font presque 1.22m de large. Et sa poitrine faisait 203 cm de circonférence. Ma main – la largeur de ma main – j’avais un voisin. Ma main fait un peu plus de 10.16 cm de large. Sa main faisait 20.32 cm de large. Et ils disaient qu’il pouvait lancer un cheval au-dessus d’une barrière. Et ils disaient qu’il pouvait ramasser une ancre de presque une tonne et demie, à hauteur de poitrine. Il pouvait prendre deux doigts et tenir un poids de 45 kgs comme ça pendant dix minutes. Et les histoires continuent, mais il est mort. Il est parti. La mort est certaine. Pierre, tu vas mourir. Mon deuxième point ici est que le moment de notre mort est prévu par Dieu. Ce que je veux dire, le Seigneur a dit Pierre, tu ne vas pas mourir jeune. Tu ne vas pas mourir maintenant; tu vas réussir à vieillir et tu mourras alors. Et donc, on nous rappelle, n’est-ce pas frères, que nos temps sont entre les mains du Seigneur. Nos temps sont dans Ses mains. Psaume 31. Quelle consolation qu’il n’y ait aucun accident, pas de hasard, mais nos temps sont dans Ses mains. Non, nous ne voulons pas présumer et tenter le Seigneur, mais nos temps sont dans Ses mains. Et vous savez, Pierre a dit là au verset 17, « Seigneur, Tu sais toutes choses. » Et en effet cela se voit. Oui, le Seigneur connait même le moment de notre mort. Pierre était en prison, vous savez. Actes chapitre 4, Actes chapitre 12. Il était en prison, mais vous savez, il aurait pu être tué avec le tranchant de l’épée comme Jacques l’a été, qui était en prison aussi, mais non. Il est sorti de là et a continué à vivre de plus en plus longtemps et jusqu’à un âge avancé. Et donc quelques fois le Seigneur nous dit quand nous allons mourir. Vous savez, Pierre savait. Il disait que le Seigneur m’a fait comprendre que l’abandon de ce tabernacle était imminent. Aussi Paul – l’Apôtre savait. Il disait que le temps de mon départ est proche. Quelques fois le Seigneur le dit aux gens. Il nous le dit en avance que vous allez bientôt mourir. Et parfois, ça se traduit par une prophétie, vous savez. Dieu le révèle à un autre. Par exemple, John Brown, qui est l’un des formidables Covenanters. C’était juste un fermier, mais c’était un saint homme. Le vieux Alexander Peden, le prophète des Covenanters, il disait qu’il n’avait jamais vu quelqu’un de saint comme John Brown. Et le vieux Peden, il a marié John et Isabel. Et à leur mariage, il a dit, Isabel, tu as un homme bon ici, mais tu devrais le chérir parce que tu ne vas pas l’avoir longtemps. Ce sera un truc sanglant. Tu ferais mieux de garder tes draps à portée de main. Et la prophétie s’est réalisée. Il est devenu martyr pour la cause, pour les droits de la couronne du Roi Jésus. Et de nouveau, le moment est prévu par Dieu. Et écoutez, comme a dit le vieux Puritain, nous sommes invincibles jusqu’à ce que notre travail soit terminé. Le chrétien est invincible jusqu’à ce que son travail soit terminé. Mon troisième point ici et c’est que la façon de mourir est aussi prévue par Dieu. Vous savez, le Seigneur a prophétisé la façon de mourir – au moins en partie – de quelle manière Pierre allait mourir. Cela était aussi prévu par Dieu. Ce que je veux dire, peut-être pas les détails, mais la plupart des gens pensent qu’il a été crucifié, et l’histoire dit qu’il a été crucifié la tête en bas à sa demande. Et donc, vous savez, « Il dit cela (verset 19) pour indiquer par quelle mort il mourrait. » Serait-ce naturel? Serait-ce violent? Serait-ce facile? Serait-ce douloureux? Serait-ce soudain? Serait-ce lent? Et pour Pierre, ce fut une mort violente. Maintenant, voici Jean, vous savez, son bon ami Jean l’Apôtre. Nous le trouvons là à la fin assis là-bas dans l’Ile de Patmos, apparemment une mort lente, une mort naturelle pour lui. Nous n’en sommes pas sûrs, je suppose, mais pour Pierre, ce ne fut pas comme ça. Il aurait pu se noyer quand il a essayé de marcher sur l’eau. Il aurait pu être abattu par le tranchant de l’épée. Mais ils disent qu’il a été crucifié. Il n’est pas mort en prison ou a pourri là-bas, mais plutôt il a été crucifié. Et donc, réfléchissez, n’y pensez-vous pas parfois? Comment vais-je rendre mon dernier souffle? Où va être la fin? Comment ce sera? Ouaih, pensez à la fin comment ce fut pour Samson, vous savez, ce que je veux dire, il aurait pu mourir dans ces batailles. Une fois, il les a tous combattus, un millier d’entre eux, avec une machoire d’âne. Ils ne l’ont pas eu. Et donc il a eu différents conflits, mais ici il finit, vous savez, en poussant les piliers vers le bas dans son acte final. C’était ce qui les a tués. Et la fin d’Elie? Il n’a pas réellement eu une fin, n’est-ce pas? Et Zacharie qu’ils ont tué entre le portique et l’autel. Et Jonathan et David? Vous savez, vous pensiez que David en ayant eu toutes les batailles qu’il a eu, vous auriez pensé qu’il aurait été celui qui aurait été tué dans une bataille de manière violente, mais non, il meurt d’une mort facile. Et son bon ami Jonathan est celui qui est tué sur le champ de bataille. Il y a John Bunyan. Vous savez, il est assis dans ces vieilles prisons humides pendant environ 12 ans et il n’est pas mort, mais il a fini par mourir en attrapant un rhume et ce fut le truc qui l’envoya en bas. Et John Payton, le missionnaire des mers du sud? Vous savez, vous pensiez, vous savez qu’il a réussi là-bas. Il a échappé à tous ces cannibales et a fini par mourir à un âge avancé, une mort facile. Il y avait un autre homme nommé Alan Gardner. C’était un missionnaire. Il est allé là-bas en Chine, et ensuite il est allé en Afrique du Sud, et ensuite il est finalement allé en Amérique du Sud, il traverse les montagnes des Andes, et finit en Papouasie Nouvelle-Guinée. Et ensuite il fait un autre voyage missionnaire vers les Iles Falkland sur la côte sud-est de l’Afrique du Sud et là-bas il meurt de faim. Et Spencer Johnson? Ce que je veux dire, c’était un élagueur, vous savez? Tous les arbres qu’il a escaladés, tous les arbres dans lesquels il se trouvait dans cette nacelle – vous savez, c’est un travail dangereux. Et là Spencer meurt en ramassant des pommes d’un pommier. Nous ne savons pas, hein? Un an, un vieil homme là-bas dans la ville où j’ai grandi, ce que je veux dire, c’était un homme agréable, il vivait une vie paisible, et ils l’ont trouvé pendu, pendu comme un épouvantail sur le haut d’un poteau en acier. Il était là à réparer une barrière et il est mort là-bas de cette manière. Et Avery Rogers, il fut l’un des premiers prédicateurs là-bas aux réunions du camp Bentley. je me rappelle l’avoir entendu quelques fois dans les années 70, et voilà, il est mort en faisant demi-tour pour aller à une réunion quand il a été percuté en travers par un semi-remorque. Et donc, le Seigneur sait. C’est tout ce que vous pouvez dire. Dieu sait. « Seigneur, Tu sais toutes choses, » verset 17. Quatrième point, donc le premier, la certitude de la mort; le deuxième, le moment; le troisième, le type de mort; et le quatrième, le but de notre mort. Le but de la mort du croyant est quoi? La gloire de Dieu. « …pour indiquer par quelle mort Pierre glorifierait Dieu. » La gloire de Dieu, ne savez-vous pas, je vous rappelle quelque chose que vous connaissez déjà si vous êtes chrétien, et c’est le but de notre vie, c’est la gloire de Dieu. C’est la finalité principale de l’homme. Nous voulons que nos oeuvres brillent tellement devant les hommes pour qu’elles puissent quoi? Glorifier Dieu. Dans tout ce que vous faites en paroles ou en pensées ou en oeuvres, faites tout pour la gloire de Dieu. Encore et encore cela ressort d’une manière ou d’une autre dans le Nouveau Testament. , « Si quelqu’un remplit un ministère, qu’il le remplisse selon la force que Dieu communique, afin qu’en toutes choses Dieu soit glorifié par Jésus Christ. » Ce thème récurrent revient et ceci réellement d’une certaine manière est le point critique de la conversion. Comme Amberly l’a fait ressortir. J’ai vécu ma vie pour ma gloire personnelle. Maintenant je veux glorifier Dieu dans tout ce que je fais à partir de maintenant. C’est le christianisme. Vivre pour la gloire de Dieu. Et les masses humaines, elles meurent. Elles meurent. Elles meurent comme des bêtes. Psaume 49, l’homme qui meurt sans intelligence ni sagesse, comme Seth l’a fait ressortir, est comme les bêtes qui périssent. Elles meurent et sont mises de côté de façon si insignifiante. Nous avions un chien quand j’étais petit, nous l’appelions Tippy, bien sûr, et je lui disais encore et encore, nous essayions de l’éduquer pour qu’il ne poursuive pas les voitures. Et là-bas il poursuivait un camion-benne et il a glissé sur la neige, a chuté dans la vallée des voies sur la route, et sa tête a été écrasée. Et c’était un hiver dur. Il faisait si froid que nous ne pouvions pas creuser un trou et l’enterrer. Je l’ai fait sortir, je l’ai mis dans le fossé. L’homme qui meurt sans la connaissance de Dieu est comme les bêtes qui périssent. Mais ce n’est pas ainsi pour le chrétien. Il vit pour la gloire de Dieu. Et pensez à ça, nous pouvons mourir pour la gloire de Dieu aussi. Notre vie, notre mort, Paul dit dans Philippiens 1, « Que ce soit par la vie ou par la mort que Christ puisse être glorifié. » Nos paroles, nos chemins, nos attitudes – nous voulons mourir dans la joie. Nous voulons mourir utilement devant le Seigneur. Laissez-moi vous raconter l’histoire du vieux John Bradford. Il vivait dans les années 1500 en Angleterre – à Londres – et fut sauvé de manière puissante à l’âge de 37 ans. Et il a abandonné ses études de droit et a commencé à étudier la théologie. Finalement fut ordonné, il ne se rendait pas compte qu’il avait seulement sept ans pour servir le Seigneur de gloire. Il fut jeté en prison. Mary est arrivé au pouvoir et elle fut une adversaire de la vérité et ils jetèrent John Bradford – le cher vieux John Bradford – ils l’appelaient « Saint Bradford. » Ce que je veux dire, il avait la réputation pendant sept ans d’être un saint homme de Dieu. Et donc pour une petite chose insignifiante, pour laquelle ils l’ont jeté en prison, et ils l’ammenèrent devant les officiels et renoncerait-il à ce qu’il a dit en ce qui concerne la messe (la messe catholique.) Il n’a pas voulu le lire et y renoncer, et donc ils l’ont emmené avec un autre gars nommé John Leif, un gars de 19 ans qui avait pris position de manière audacieuse pour Christ. Ils l’ont emmené pour être brûlé sur le bûcher. Là-bas avant que le feu soit allumé, il a pardonné à tous ceux qui l’avaient offensé, et a demandé le pardon de tout le monde, et a exhorté tout le monde à devenir chrétien. Et il s’est tourné sur le côté vers ce camarade dans le Seigneur de 19 ans, et il dit, « Cher frère, sois de bonne humeur, car ce soir nous aurons un souper joyeux avec le Seigneur Jésus. » Ils sont morts pour la gloire de Dieu, ne diriez-vous pas? Et laissez-moi vous parler de Richard Cameron dans les années 1600. Vous savez, il fut l’un des Covenanters en Ecosse. Et donc voici Richard Cameron. Il fut élevé par des parents saints – le vieux Alan Cameron, qui d’ailleurs avait été mis en prison parce qu’ils, vous savez, ils ont apporté cette loi sur le conventions. C’est, vous ne pouviez avoir aucune réunion à moins qu’elle ne soit sous l’approbation de l’Eglise d’Angleterre. Et il préchait dans sa maison. Et donc parce qu’il avait une église de maison, il a été envoyé en prison. Et quoi qu’il en soit, voici son fils, alors, il était converti. Et Richard, comme ils disent, il était comme une météore qui a traversé l’horizon de l’histoire de l’Ecosse. Il a commencé à précher sans crainte même de manière téméraire. Et oh oui, quand il a été ordonné, il y avait trois ou quatre hommes qui ont posé leurs mains sur sa tête. Alors en posant leurs mains sur sa tête le commissionnant et tous, quand ce fut terminé, ils ont retiré leurs mains sauf un homme, le vieux McWard. Il a laissé sa main sur la tête de Richard Cameron, et il a dit, « Contemplez, tous ceux qui regardent, » il a dit, « Cet homme – voici la tête d’un bon serviteur de Jésus Christ. Mais il n’aura pas beaucoup de temps et il ne la gardera pas pour le nom de Christ. » Et cette prophétie fut accomplie pas beaucoup d’années plus tard. Ils ont coupé sa tête et l’ont posé au-dessus du vieux (inaudible) port et là-bas pour que tout le monde la voit. Et il est mort pour la gloire de Dieu, ne diriez-vous pas? Et laissez-moi vous dire une chose encore sur son cher vieux papa. Pour ajouter l’insulte à l’injure, ils ont coupé ses mains, les ont mises dans un sac, et les ont apportées à son père en prison. Et ils ont dit, « Reconnais-tu ces mains? » Il a regardé dans le sac et il a sorti ces mains et les a embrassées, et alors a dit, « Oui, je sais, je sais à qui sont ces mains – les mains de mon cher fils. » Mais il a élevé sa voix et a béni Dieu et il a dit, « Dieu ne m’a jamais fait de tort. Le Seigneur est bon envers un pécheur tel que moi. » Cet homme est mort aussi pour la gloire de Dieu. Jean le Baptiste a perdu sa tête en réprimant un roi pour adultère. Il est mort pour la gloire de Dieu. Jacques est mort, tué par le tranchant de l’épée, ne diriez-vous pas, pour la gloire de Dieu n’acceptant pas la délivrance. Mais et ceux qui ne sont pas martyrs? Même eux, oui, qui sont morts dans la foi comme Jacob, comme Joseph, ils sont morts. Quand ils étaient en train de mourir par la foi, ils ont prophétisé. Joseph a fait mention du départ des fils d’Israël de l’Egypte et a donné un commandement concernant ses os. Il dit, vous sortez d’ici et mes os sortent aussi du tombeau au jour du Seigneur, et donc vous prenez soin de mes os et les faites sortir aussi. Et ils sont morts aussi pour la gloire de Dieu. Elie, Samson, vous savez, et Samson? Vous savez, je dois dire qu’il est mort pour la gloire de Dieu aussi. Ce que je veux dire, dans son dernier effort, il voulait mourir pour le Seigneur et il a donné sa vie pour ça. Et le vieux Siméon? « Eternel, laisse ton serviteur partir. J’ai vu Ton salut. » Bunyan – je l’ai déjà mentionné, mais vous savez, il est mort parce qu’il a attrapé ce rhume et il était en voyage – un voyage de deux jours à cheval – et il a attrapé le rhume sous la pluie, mais il faisait ce voyage pour être un artisan de la paix, pour réconcilier un père et un fils. Et quand il était en train de mourir, il a élevé sa voix en louange à Dieu et a crié, « Gloire! » Et là-bas il est parti pour la gloire de Dieu. Laissez-moi mentionner encore cet Alan Gardner. Comme je dis, après sa conversion il est allé en Chine comme missionnaire, ensuite en Afrique du Sud. La porte fut fermée là-bas finalement, parmi les zoulous parce qu’il y avait une guerre. Il a dû partir et ensuite sa femme est morte. Il s’est remarié, et juste quatre mois après son remariage, il a emmené sa famille en Amérique du Sud. Comme je dis, ils ont traversé le continent par le Chili et ont terminé en Papouasir Nouvelle Guinée, et c’était un peu comme si tout s’écroulait constamment. Et ensuite i a eu un fardeau pour les aborigènes en Amérique du Sud. Et donc il a organisé une équipe pour descendre là-bas de cinq hommes plus lui. Et ils sont descendus là-bas et le gros bateau les a déchargés avec deux bateaux plus petits et ensuite deux petits bateaux, et quand ils essayèrent d’arriver à la côte, tous les bateaux sauf un furent détruits. Et le pire dans tout ça: Ils ont oublié la poudre et ils sont morts de faim un par un. Mais voici ce qu’il dit dans son journal – ils l’ont trouvé environ quatre mois plus tard. Ils ont trouvé les corps, ils ont trouvé le journal environ quatre mois plus tard. Il raconte qu’un de ses camarades de travail s’est converti. Il n’a jamais été chrétien et ici dans cette mission, un de ses camarades de travail a trouvé le Seigneur. Et en voici une autre, il se lève de son lit de maladie, il a dit, et il chante le cantique, « Lève-toi, Mon Âme, Lève-toi. » Il chante cet unique verset et rend son dernier soupir. Il est mort pour la gloire de Dieu. Et ensuite Alan Gardner lui-même écrit dans son journal à sa femme une semaine avant sa mort. Il dit, « Nous sommes en train de traverser une fournaise, mais béni soit mon Berger céleste. Il est avec moi et je ne manque de rien. J’ai la paix parfaite. Mon âme L’attend. Je prie pour avoir la patience d’attendre Son bon plaisir pour la vie ou pour la mort, que je vive ou que je meurs, que je puisse vivre ou que je puisse mourir pour Sa gloire. » Pas une seule plainte d’aucun de ces hommes. Pourquoi cela arrive-t-il? Comment cela pouvait-il arriver? Aucune expression d’amertume envers Dieu. Ils sont morts en rendant gloire au Seigneur pour un tel amour et une telle bonté envers des pécheurs comme eux. Ils sont morts pour la gloire de Dieu. Bakht Singh de l’Inde. Vous savez, quand il est mort il y avait, ils ont estimé, plus d’un quart de millions de personnes dans la procession funéraire. Et la terre a tremblé et un arc-en-ciel est apparu autour du soleil et le ciel s’est rempli de pigeons, de colombes. Cet homme est mort pour la gloire de Dieu. La ville d’Hyderabad n’avait jamais vu un tel rassemblement. Le nom de Jésus a été exalté à la mort de Bakht Singh. Donc, « pour indiquer par quelle mort Pierre glorifierait Dieu. » Ne voulez-vous pas descendre avec vos bottes aux pieds? Avec votre coeur droit? Avec votre bouche ouverte en louange à Dieu? Mon dernier point est que si notre mort doit être pour la gloire de Dieu, alors elle doit être précédée d’une vie passée à suivre Christ. Vous savez, « par quelle mort Pierre glorifierait Dieu. Et ayant ainsi parlé, Il lui dit, ‘Suis-Moi. » En d’autres mots, Pierre, oublie ce qui arrive. Suis-Moi juste maintenant, jour après jour après jour. Marchant dans la lumière, tu Me suis. Ne t’inquiète pas de ça. Ne t’inquiète pas de ce que font les autres hommes ou de ce qui leur sera fait. Suis-Moi juste, ici, aujourd’hui. N’est-ce pas? je me souviens d’un moment quand nous vivions à Kirksville, il y avait un gars avec qui je travaillais – un frère – et il était tombé dans le péché. Tombé dans le péché, et donc il s’en repentait – s’en repentait avec des larmes amères et avait perdu son assurance, et je lui disais sans cesse encore et encore, la question est que vas-tu faire aujourd’hui? Vas-tu suivre le Seigneur Jésus aujourd’hui? Ne t’inquiète pas de demain. Ne t’inquiète pas d’hier. Suivras-tu le Seigneur aujourd’hui? Et donc le Seigneur dit, « Suis-Moi. » C’est la volonté révélée de Dieu: suis-Moi dans les souffrances, dans le service, suis-Moi. Si tu veux mourir bien, tu vas devoir vivre bien en suivant le Seigneur jour après jour. C’est ce qui est si glorieux dans le départ de Spencer Johnson. Ce n’était pas exactement comment il est mort, vraiment, c’était comment il a vécu. C’est comment il est mort pour la gloire de Dieu. Voici John Oxtoby. J’ai lu sur lui. C’était juste un ouvrier agricole en Angleterre vers environ 1900. Un ouvrier agricole, vous savez, ce que je veux dire, ce n’était pas un prédicateur, mais cet homme a vécu pour la gloire de Dieu. Le circuit méthodiste, les prédicateurs méthodistes, ils ont abandonné cette ville appelée Fife ou quelque chose comme ça. Ils ont dit qu’elle était trop difficile. Elle est trop dur, trop méchante. Ils sont trop entêtés et nous allons l’abandonner. Et le vieux John Oxtoby, il dit non. Il dit, donnez-la moi. Envoyez-moi. Et il dit, j’irai là-bas et je vivrai de pommes de terre et de sel s’il le faut. Et donc ils l’ont chargé de partir. Et alors qu’il entrait dans la ville, il est descendu de son cheval et il est tombé dans un fourré. Et il est tombé sur ses genoux et il a commencé à crier à Dieu, essayant d’atteindre Dieu. Et il a dit, « Seigneur, seras-Tu avec moi? Iras-Tu avec moi? Si c’est non, quel fou je serai. » Et il s’est accroché au Seigneur et a obtenu l’assurance tout de suite que le Seigneur viendrait dans cette ville, dans ce village. Et il a commencé à travailler là-bas et a préché autant qu’il le pouvait et une puissance de réveil est venue sur cette ville. Quand il est mort, il est mort pour la gloire de Dieu. Il dit, « Dites à mes amis que quelles que soient les révélations manifestes que j’ai vues, rien n’est comparable à ça. » Et il a rendu son dernier soupir. Bon, nous devrions être préparé aux changements, non? Ce que je veux dire, Pierre aurait pu penser, bon, me voici, vous savez, j’ai réussi à traverser toutes ces épreuves. Je suis maintenant âgé et peut-être que je vais juste – peut-être que je vais juste en quelque sorte m’éteindre comme une bougie. Mais il pense au fond de son esprit, le Seigneur a dit, le Seigneur m’a dit que ça va être de cette manière. Ils vont éteindre ma bougie avant qu’elle ne s’éteigne même si c’est jusqu’à la douille. Et donc, nous devons être préparés aux changements – changements à notre âge. Vous savez, je me rappelle mon père, vous savez, à ce moment-là il était dans l’unité Alzheimer et c’était un établissement agréable. Vous savez, les différents bâtiments étaient reliès par des couloirs, et je le sortais pour une petite balade en fauteuil roulant. Et il a dit, « Bob, » il a dit, « Je n’avais jamais imaginé que je finirais ma vie dans un vieux trou de taupe comme celui-ci. » Et il l’a dit, vous savez, avec un peu d’humour. Je savais ce qu’il disait. Je savais qu’il était reconnaissant pour les équipements et les miséricordes de ces institutions, mais vous savez, je dis changements. Nous ne savons pas comment, nous ne savons pas ce qui est devant nous. C’est bien. Nous continuons avec Dieu. Nous suivons le Seigneur jour après jour après jour. Soyez préparés aux changements. Mais la chose principale que nous devrions avoir ici ce sont ces deux derniers mots et c’est, « Suis-Moi. » Suivre le Seigneur. C’est l’appel. C’est l’appel à suivre le Seigneur de gloire, digne de notre confiance, digne de notre vie, de notre dévotion. Suivez-Le dans la vie, suivez-Le dans la mort, suivez-Le tout le long du chemin vers le trône. Comme Sam préchait, « Suivez-Moi. »