7 questions sur la discipline de Dieu

Hébreux veut que nous connaissions notre Dieu comme un Père qui discipline. Reconnaitre et recevoir cette vérité est extrêmement important pour connaitre votre Dieu, et pour vivre par la foi, et pour croire en Lui quand toutes les fondations semblent s’effondrer. Etes-vous prêt à accepter que votre douleur ne soit pas le résultat de la haine de Dieu envers vous? Votre douleur, si vous êtes chrétien, est le résultat de l’amour infini de Dieu envers vous. Vous croyez ça? L’acceptez-vous? Croyez-vous, dans votre douleur, que vous n’êtes pas traité injustement?


Hébreux chapitre 12, je veux lire du verset 5 au verset 13. « Et vous avez oublié l’exhortation qui vous est adressée comme à des fils : Mon fils, ne méprise pas le châtiment du Seigneur, et ne perds pas courage lorsqu’Il te reprend; car le Seigneur châtie celui qu’Il aime, et Il frappe de la verge (KJV, NKJV, KASB, toutes mettent fouetter. Cela semble un petit peu plus sévère que châtier, n’est-ce pas? Fouetter. Fouetter semble sévère. Et c’est ce que signifie ce mot.) Et Il frappe de la verge tous ceux qu’Il reconnait pour Ses fils. Supportez le châtiment : c’est comme des fils que Dieu vous traite; car quel est le fils qu’un père ne châtie pas? Mais si vous exempts du châtiment auquel tous ont part, vous êtes donc des enfants illégitimes, et non des fils. D’ailleurs, puisque nos pères selon la chair nous ont châtiés, et que nous les avons respectés, ne devons-nous pas à bien plus forte raison nous soumettre au Père des esprits, pour avoir la vie? Nos pères nous châtiaient pour peu de jours, comme ils le trouvaient bon; mais Dieu nous châtie pour notre bien, afin que nous participions à Sa sainteté. Il est vrai que tout châtiment semble d’abord un sujet de tristesse, et non de joie; mais il produit plus tard pour ceux qui ont été exercés un fruit paisible de justice. Fortifiez donc vos mains languissantes et vos genoux affaiblis; et suivez avec vos pieds des voies droites, afin que ce qui est boiteux ne dévie pas, mais plutôt se rafermisse. »

Le titre de mon sermon ce matin est « 7 questions sur la discipline de Dieu. » Chrétiens, je veux que vous réfléchissiez à votre Père céleste. Vous savez ça, mais réfléchissez-y. Il n’y a rien de caché. Les recoins les plus profonds de votre esprit, de votre âme, de vos pensées, ils ne sont pas cachés. Chaque aspect de votre vie est totalement dévoilée. Il la connait. Il est intimement familier avec ce qui se passe dans votre vie et exactement où vous en êtes. Il connait vos pensées, Il connait vos désirs, Il connait vos combats, Il connait votre maturité ou votre manque de maturité. Il connait votre vulnérabilité, Il sait spirituellement à quel niveau vous êtes maintenant. Il connait votre péché, Il connait vos échecs, vos niveaux de mondanité. Et Il le sait précisément et parfaitement. Il sait quand, et jusqu’où, appliquer la douleur dans votre vie. Parfaitement.

Ne vous y trompez pas. Si vous êtes un enfant de Dieu, si vous êtes chrétien, vous connaitrez, vous connaissez et vous vous avez connu la discipline de Dieu. Si vous êtes un enfant de Dieu, elle est donnée. Aucun chrétien n’y échappe. Aucun. Et je sais cela de notre texte. Verset 6, « Car le Seigneur châtie celui qu’Il aime, et Il frappe de la verge (et bien sûr, c’est un nom générique – ce sont les fils et les filles) tous ceux qu’Il reconnait pour Ses fils. » Verset 7, vous regardez la dernière phrase là, « Car quel est le fils qu’un père ne châtie pas? » Quelle est la réponse? Il s’attend à ce que vous y répondiez. Quel est le fils qu’un père ne châtie pas? Aucun. Verset 8, « Mais si vous êtes exempts du châtiment, » Qu’est-ce que ça signifie? Illégitimes. Quel est le fils qui ne connait pas la discipline de son père? Si vous êtes exempts de cette discipline, dans laquelle combien ont part? Tous.

Etre un fils ou une fille de Dieu, écrivez-le, c’est être un objet de la discipline de Dieu. C’est le traitement de Dieu pour tous Ses enfants. C’est être traité comme un fils. Vous voyez ça au verset 7, « Supportez le châtiment : c’est comme des fils que Dieu vous traite. » C’est tellement certain que si cela n’arrive pas, le verset 8 dit « vous êtes des enfants illégitimes et non des fils. » Etre un fils, c’est connaitre la discipline de Dieu. Mais je reconnais ceci: Vous savez, à chaque fois que nous commençons à parler et à réfléchir à ce Dieu que nous avons reconnu dans l’Ecriture; Le Seigneur Souverain, il ont prié dans Actes 4. Nous avons un Seigneur souverain, C’est le Dieu Tout-puissant. Quand le Dieu Tout-puissant vous a dans Sa lunette de visée, comme un candidat dans lequel Il va infliger la douleur, cela a tendance à nous faire lever, en prendre note et à poser des questions. Il y a toujours des questions qui surgissent quand nous commençons à parler de la discipline de Dieu sur Son peuple. Cela entraine des inquiétudes. Cela entraine des questions.

Donc, ce que je pensais pouvoir faire ce matin c’est de poser sept questions courantes concernant la discipline de Dieu, et essayer de faire de mon mieux pour vous donner une réponse biblique venant de la Parole de Dieu sur la façon de répondre à ces questions. Et la première question est celle-ci (et à notre époque, c’est une question que l’on nous pose): « Infliger de la douleur sur quelqu’un d’autre, n’est-ce pas un manque d’amour? » Infliger de la douleur sur quelqu’un d’autre – et en fait, je présume que la discipline implique la douleur. Je prends ça du verset 11. Regardez le verset 11, « Il est vrai que tout châtiment semble d’abord – quel est le mot? – un sujet de tristesse (de douleur). » Ce mot (tristesse, douleur) dans l’original transmet l’idée de, en fait, c’est toute une gamme d’idées – douleur, souffrance, chagrin, tristesse, affliction. Mais au verset 11, « Il est vrai que tout châtiment semble d’abord douloureux. » Nous parlons d’une douleur réelle. Et regardez le verset 6, et je l’ai déjà dit, « Car le Seigneur châtie celui qu’Il aime et Il frappe de la verge… » Ce mot (frapper de la verge) est, comme je l’ai dit, traduit dans d’autres traductions, fouetter. C’est l’idée de flageller, fouetter, battre, être fouetté avec une lanière ou un fouet. C’est la terminologie qui est utilisée ici.

Dieu fouette, flagelle, frappe tout fils qu’Il reconnait. Et vous dites, « Oh, j’aime mieux la notion de châtier. » Bon, c’était écrit dans une autre langue et si vous regardez ce que signifie le mot dans l’original, c’est pourquoi ces autres traductions le traduisent ‘fouetter’, et cela semble dur, parce que ça fait mal. C’est une douleur réelle. Il y a souvent de la sévérité dans la discipline de Dieu. Et la question est celle-ci : Est-ce qu’infliger de la douleur à quelqu’un n’est pas un manque d’amour? Et bien sûr, la réponse est non. Pas de la manière décrite ici dans Hébreux 12. Bien sûr qu’un maitre fouettant l’esclave; bien sûr que la mère, qui en colère, frappe son enfant au visage avec une poêle à frire, bien sûr que c’est un manque d’amour. Jésus Christ, ayant ces soldats enfonçant ces épines sur son front, et déchirant Son dos; bien sûr que c’était un manque d’amour. Quand Il a été fouetté, c’en était.

Je ne dis pas qu’infliger de la douleur sur un autre est toujours une expression d’amour. Ce que je dis, c’est qu’infliger de la douleur sur une autre personne peut définitivement être une expression d’amour, et se trouve ici dans Hébreux 12. Infliger de la douleur est une expression d’amour parce que Dieu le dit. Hébreux 12:6, « Le Seigneur châtie – Qui? Qui châtie-t-Il? – celui qu’Il aime. » Bien. Le problème est celui-ci, que nous vivons à une époque où une telle idée, l’idée que vous pouvez avoir de l’amour et la douleur peut être infligée, cette idée est rejetée de façon véhémente. Et tout ce que vous avez à faire, c’est de regarder l’esprit actuel de ce monde en ce qui concerne la fessée aux enfants. Nous pouvons regarder le système carcéral et comment ils s’occupent de châtiment de redressement (le châtiment correctif) dans tout le système légal.

Mais considérez juste les enfants. Récemment un gars m’a envoyé un mail, en réponse à un message que j’ai fait sur le fait d’être parents, où j’ai parlé de la fessée. Il m’a dit que je ferai mieux de renoncer à ma position, ou il allait m’exposer en public. Et tout ce que j’ai cherché à faire, ce fut d’apporter un message biblique sur ça. Mais c’est l’esprit du monde aujourd’hui. C’est là où ils en sont. Mais, vous me dites, vous me dites. Vous avez un petit garçon, il sort en courant dans la rue, contre les instructions de ses parents (ne sors pas dans la rue en courant.) Si le papa prend ce petit garçon et l’amène ici et lui donne une fessée, est-ce une expression de haine? Proverbes 13:24 ne dit-il pas « Celui qui ménage sa verge – fait quoi? – hait son fils. » Pourquoi? Pourquoi est-ce une expression de haine de ne pas infliger de la douleur? Parce que c’est une douleur momentanée légère qui a pour but d’aider l’enfant en le protégeant de ce qui est un plus grand danger et plus douloureux. C’est l’amour quand il est exprimé de cette manière.

Je trouve l’un d’entre vous, les pères, en train de donner la fessée à votre enfant aprés le service. Je vous demande pourquoi? Vous me dites, et bien notre enfant continue à courir dans la rue aprés des avertissements répétés de ne pas le faire. Vais-je accuser ce père d’être sans amour? Bien sûr que non. La douleur qu’il inflige à son fils; hey, est-ce de la douleur? Et bien, c’est réel, cuisant sur les fesses, c’est la douleur. Vous demandez à l’enfant, oui ça fait mal. Ce gémissement que vous entendez venant de la salle de bain quelques fois, ce n’est pas parce qu’ils les chatouillent avec une plume. Cela fait mal. Mais ils ne le font pas pour faire du mal à l’enfant, mais pour garder l’enfant de la vraie douleur.

Donc, quand quelqu’un dit, « Est-ce qu’infliger de la douleur à quelqu’un d’autre n’est pas un manque d’amour? » La réponse est non. Pas quand la douleur qui est infligée, rappelez-vous ce que dit l’Ecriture, « L’affliction momentanée légère produit un poids éternel de gloire. » Cela ressemble-t-il à de la haine? Non, ce n’est pas ça. C’est l’amour.

Question deux : « Qu’est-ce que Dieu utilise pour châtier Ses enfants? » La question est celle-ci : Quelle forme de douleur notre Père inflige-t-Il à Ses enfants quand Il nous châtie? Un père terrestre, j’avais en particulier (mes enfants savent,) il y a une palette spécifique – une palette pour le beurre de miel que j’ai eu de la maison de la grand-mère Conway quand elle est morte – et ils ont grandi et ont reconnu que c’était l’instrument de la correction. Quel est l’instrument de la discipline de notre Père?

Maintenant, nous devons prêter une grande attention ici, parce que je veux que vous voyez quelque chose. Parce que cela va vous aider non seulement à identifier le genre de choses que vous pouvez vous attendre à rencontrer dans votre vie chrétienne, dans laquelle vous allez si vous êtes un fils, mais cela nous aide à déterminer quel genre de Dieu nous avons. Vous savez, tout ceci en revient à reconnaitre notre Dieu, qui Il est, et à croire en Lui tel qu’Il est. Et dans l’affliction, il est rellement important que nous sachions vraiment comment est notre Dieu, et à quoi ressemble Son amour, afin que nous puissions avoir confiance en Lui au milieu de nos souffrances et non pas regimber contre Lui.

Maintenez, notez avec attention ce qui est dit dans Hébreux 12:3. Nous n’avons pas lu ça pour commencer. Nous en avons parlé dans les anciens sermons. Mais regardez ceci, « Considérez, en effet, Celui qui a supporté contre Sa personne une telle opposition de la part des pécheurs, afin que vous ne lassiez point, l’âme découragée. » Donc, quel est le problème? Les pécheurs hostiles. Mais notez ceci : « En luttant contre le péché » – leur lutte contre le péché était identique. Ils étaient persécutés, publiquement persécutés. Leurs biens étaient pillés. Leur lutte contre le péché, c’est ne pas se rebeller contre Dieu quand ça arrive. C’est le problème avec ces Hébreux. Ils sont sur le point de chuter parce que les choses deviennent si difficiles. Et il dit ceci : « Vous n’avez pas encore résisté jusqu’au sang, en luttant contre le péché. » Bon, qui est-ce qui va verser leur sang? Les pécheurs hostiles. Les mêmes personnes qui ont versé le sang de Jésus.

Maintenant, n’est-ce pas intéressant ce que dit immédiatement notre auteur au verset 5, « Et vous avez oublié l’exhortation qui vous est adressée comme à des fils : mon fils, ne méprise pas le châtiment du Seigneur. » Quel est directement l’instrument auquel fait référence l’auteur pour nous, qui est la discipline du Seigneur? Ces pécheurs hostiles qu’ils ont rencontré. Vous n’avez pas besoin de revenir en arrière là, mais si vous deviez regarder et revenir au chapitre 10 verset 32, que trouvez-vous? Le reproche public, l’affliction, la spoliation de leurs biens. Notre auteur en arrive immédiatement à eux et dit que c’est la discipline de Dieu. Dieu utilise les pécheurs hostiles pour discipliner Son peuple. Vous voyez ça? Non, en fait, voyez-vous réellement ce qui se passe? Dieu n’est pas assis là passivement, et dit, « Ooh! Les anges, rassemblez-vous autour. Regardez ce que ces pécheurs hostiles font à Mon peuple. Regardez ce que le diable fait à Mon peuple. Regardez ça. Regardez-Moi transformez cette situation en bien. Regardez-Moi faire Romains 8:28 ici. » Ce n’est pas ce qui se passe.

Dieu n’est pas assis là passivement et juste en observant. Dieu ne réagit pas à ce que les pécheurs hostiles nous font. Il est Celui qui les envoient contre nous. Lisez ceci pour vous-mêmes, Hébreux 12:6, Qui châtie? Le Seigneur châtie. Qui frappe de la verge? Le Seigneur fouette. Rappelez-vous ce terme – fouet. Qui nous frappe de la verge? Qui fouette? Qui? Notre Père céleste. Dieu n’est pas un observateur passif dans votre vie et dans ma vie quand les pécheurs et Satan nous frappent, ou quand la providence nous appelle à descendre le chemin solitaire de la douleur. Dieu ne dit pas juste, « Bon, ok, Je vais répondre à ça et essayer de le transformer en bien. Dieu l’a conçu. Dieu est Celui qui l’envoie spécifiquement comme un Père délivre le bâton à Son fils. Nous devons le voir. Dieu Tout-puissant, le Seigneur souverain, Il règne sur les pécheurs. Il règne sur la providence. Il règne sur les démons. Maintenant, ils peuvent involontairement faire ce qu’ils font, et ils sont responsables de ce qu’ils font; mais soyez sûrs de ça, que ce qu’ils font, c’est accomplir les buts d’amour de Dieu pour discipliner nos vies. Ne vous y trompez pas. Dieu orchestre notre discipline.

Donc, les pécheurs hostiles sont-ils le seul bâton que Dieu utilise? Je ne le pense pas. C’est un des bâtons de Dieu, et c’est ce qu’Il utilisait sur ces gens a qui Hébreux était écrit. Mais, si vous regardez au verset 11, ce qui est réellement caractéristique de la discipline est la douleur. Rappelez-vous que c’est un mot large – chagrin, tristesse, affliction. Ces choses sont le genre de bâtons par lesquels notre Père nous châtie.

Mais ensuite, voici la troisième question : « Comment puis-je dire, en tant que chrétien, si ma souffrance est en fait de la discipline? » Je pense que c’est une question très courante pour nous. Ma voiture est en panne. En fait ça m’est arrivé cette semaine. La première fois que mon camion et mon van tombent en panne le même jour. Donc, est-ce la discipline de Dieu? Vous savez, c’est le genre de choses pour lesquelles nous nous étonnons. Quelque chose de mal arrive dans la vie chrétienne, quelque chose de mal leur arrive; souvent, il y a ce sentiment de regarder et dire, « Oh, qu’ont-ils fait? » Rappelez-vous les disciples de Christ? Voici un homme aveugle de naissance, et qu’ont dit immédiatement les disciples? « Qui a péché? Etait-ce lui ou ses parents pour que cet homme soit né aveugle? »

Vous savez, nous pensons souvent comme ça. « Euh, quelque chose de mal leur est arrivé, ils ont dû être impies. Ils devenaient mondains, ils recevaient quelque chose… » Maintenant, regardez, notre compréhension de la discipline de cette manière a certainement à voir avec une compréhension très étroite de ce terme ‘discipline’. Ce mot pour discipline est comme notre mot français pour discipline. Si j’utilise ce terme par rapport à : « Frère, tu dois être discipliné dans ta vie; tu dois te lever à l’heure; tu dois aller au travail à l’heure. » Vous voyez, nous avons tendance à regarder ce terme dans un sens positif, utilisé de cette manière. Tandis que, si vous dites à l’enfant que vous avez attrapé à mentir, « Ok, tu vas être discipliné, » nous le regardons de façon négative cette fois. En fait, j’ai même parlé de quel bâton Dieu utilise. Cela semble négatif. Mais ce terme pour discipline a à voir avec toute l’éducation d’un enfant. Cela a à voir avec le fait de guider un enfant vers la maturité. Le mot englobe la formation, l’instruction, la discipline; c’est toute la formation dans l’éducation de l’enfant.

Et donc, quand nous le comprenons dans le sens large, nous ne le limitons pas juste à, « Ok, quelque chose de mal est arrivé dans ma vie, quel mal ai-je fait que je reçoive ça de Dieu? » Souvent, c’est comme ça que nous pensons. « Bon, nous avons péché, cette chose mauvaise est arrivée. Nous péchons encore, cette chose mauvaise est arrivée. » Mais ce n’est pas réellement l’image que vous voulez voir. Cette discipline n’a pas juste pour intention de nous punir. Que veut-elle faire? Elle a pour but, vous pouvez le voir au verset 10, c’est pour notre bien. Vous voyez? « Il nous châtie pour notre bien. » C’est pour produire la sainteté en nous (verset 10). Verset 11, c’est pour produire la paix – le fruit paisible. C’est pour produire la justice en nous. C’est pour la formation, la direction, amener à la maturité, l’instruction totale des enfants de Dieu dans la sainteté et la justice. Et laissez-moi vous demander ceci: Quelle heure de quelle jour avez-vous besoin de ces choses? Il n’y a rien du tout dans ces versets qui nous mène à croire, ce que je veux dire, si vous lisez tout du long ici du verset 5 au verset 13 comme nous le lisons, il n’y a rien ici qui nous mène à croire que ces amis, à qui est écrite cette lettre, ont des choses attristantes pour lesquelles ils sont punis par leur Père. Il n’y a aucune indication là. On leur dit simplement, « Vous devez supporter ça, et c’est pour votre bien. Vous devez le supporter, c’est pour votre sainteté, c’est pour votre justice. » Ce mot ‘discipline’ est beaucoup plus large que cette simple réponse à un péché dans votre vie.

Maintenant, regardez, Dieu peut trés bien, si vous avez une idole qui est là depuis longtemps dans votre vie ou un péché non repenti, Dieu peut vous discipliner comme un résultat direct de ce péché. Je ne dis pas que ce n’est pas le cas. Mais j’ai le sentiment que ce besoin total que nous avons de la justice et de la sainteté, peut amener la discipline de Dieu à tout moment; parce que cette discipline, la parole elle-même, ne fait pas que traiter en répondant à des incidents spécifiques. Cela concerne la formation totale des enfants de Dieu dont vous et moi avons besoin, chaque jour; chaque heure, chaque minute. Et vous savez quoi? Même si vous êtes fixés sur cette idée que la discipline doit être en réponse à une sorte de méfait, et bien, laissez-moi vous demander ceci. Quel jour n’avez-vous pas commis un méfait? Nous sommes des candidats à la discipline de Dieu, tout le temps.

Question quatre, « Vu que la souffrance est commune à tous les hommes, comment puis-je dire la différence entre la discipline du chrétien et la souffrance du non-chrétien? » Cette question surgit réellement du verset 8, n’est-ce pas? Ecoutez le verset 8, « Mais si vous êtes exempts du châtiment auquel tous (en fait les enfants de Dieu) ont part, vous êtes donc des enfants illégitimes et non des fils. » Et donc, cela soulève la question, « Wow! Tous les hommes souffrent, comment puis-je dire si je ne suis pas en train d’être discipliné par Dieu? » Si ce que Dieu utilise pour nous discipliner est la douleur, et tous les hommes sont exposés à la douleur, comment est-ce même possible pour moi de regarder quelqu’un et de dire si oui ou non ils sont disciplinés par leur Père. C’est une question valide, n’est-ce pas? C’est une des questions qui surgit souvent. Comment pouvons-nous le dire? Un croyant tombe malade; est-ce seulement les croyants qui sont malades là où vous travaillez? Le croyant tombe malade, l’incroyant tombe malade. Le croyant perd son travail, l’incroyant perd son travail. Quelle est la différence? Où n’y en a t-il aucune? Hébreux est écrit aux chrétiens qui ont eu leurs biens pillés. Mais regardez à travers l’histoire. Les voleurs ont pillé les biens des incroyants tout autant. En temps de guerre, les incroyants ont été pillé tout autant. Et je vais vous dire ceci, si vous êtes un faux chrétien dans l’église, et que vous vous identifiez à Christ, vous allez plutôt recevoir, souvent, le même genre de persécution que tous les autres reçoivent.

Regardez, notre auteur est inquiet que certaines des personnes à qui il écrit puissent ne pas être dans une bonne condition. Il les avertit. Si vous continuez à pécher délibéremment, il y a la colère de Dieu. Il est inquiet qu’il puisse y en avoir certains au milieu d’eux qui dérivent. Vous vous souvenez d’où nous venons dans cette lettre. Bon, vous savez quoi? Ils avaient eu leurs biens pillés aussi. Pourquoi? Parce qu’ils s’identifiaient à Christ. Comment pouvez-vous dire quand quelqu’un est discipliné par le Seigneur qu’il est Son enfant, et tandis que l’autre en est exempt et qu’il est illégitime? Bon, pour répondre à ça, nous devons reconnaitre ce que les versets 9, 10 et 11 disent. Maintenant, regardez ceci. Bon, lisons le verset 9, « D’ailleurs, puisque nos pères selon la chair nous ont châtiés, et que nous les avons respectés, ne devons-nous pas à bien plus forte raaison – or, voilà la clé – nous soumettre au Père des esprits pour avoir la vie? Nos pères nous châtiaient pour peu de jours, comme ils le trouvaient bon; mais Dieu nous châtie pour notre bien, afin que nous participions à Sa sainteté. » Maintenant comprenez ceci. Quand Dieu nous discipline, c’est en vue de produire la sainteté. « Il est vrai que tout châtiment semble d’abord un sujet de tristesse, et non de joie; mais il produit plus tard pour ceux qui ont été ainsi exercés un fruit paisible de justice. » Il y a une production. Attrapez ce mot ‘fruit’ au verset 11. Quand le peuple de Dieu expérimente la douleur d’amour, la tristesse d’amour, la souffrance d’amour de la discipline de leur Père céleste, quel est le fruit? Quel est le fruit? C’est la justice.

Maintenant, vous pensez avec moi à certains passages comme la parabole des terrains. Que se passe-t-il quand vous avez quelqu’un qui reçoit la parole avec joie, et ensuite la douleur arrive – le soleil part, la persécution arrive, les pécheurs hostiles? Que se passe-t-il? Ils s’évanouissent. Avez-vous saisi ça au verset 9? « Se soumettre au Père. » Savez-vous ce qui se passe quand le monde souffre? Maintes et maintes fois, comment Dieu critique-t-Il le monde dans son ensemble quand Il apporte la calamité sur le monde? Comment les prend-Il en faute? Ils ne se tournent pas vers Lui. Rappelez-vous ce dont nous parlions mercredi? Jésus disant, « Appuie-toi sur Moi. J’ai conçu ta souffrance. J’ai concçu ta charge pour qu’elle ne soit pas supportable, non proportionnelle à ta force. » Pourquoi? Afin que nous puissions nous appuyer sur Lui. Que fait le monde quand les difficultés arrivent? Vous les voyez là dans Apocalypse 16; ils blasphèment le Seigneur. Ils jurent, ils maudissent, ils regimbent. Le peuple de Dieu est soumis, et que se passe-t-il? Il y a le fruit de la justice. Tout ce qu’elle (la difficulté) fait c’est qu’elle aggrave le péché de l’incroyant. Il regimbe, il hait ça, il se plaint, il discute, il accuse Dieu, il met Dieu au tribunal. Il apporte des accusations contre Dieu. Et tout ce qu’il fait, c’est d’aggraver son péché. Vous regardez, regardez les gens souffrir, c’est comme ça que nous le savons. C’est la différence. Comment ils répondent.

Et la question 5 : « Pourquoi moi, pourquoi maintenant? » Et je sais que nous avons parlé de ça, peut-être, dans d’autres messages; mais nous sommes souvent si angoissés quand le Seigneur amène la discipline. Vous savez, si vous êtes assis là et la vie va plutôt bien, ce message peut ne faire que passer au-dessus de votre tête. Mais quand la douleur arrive, même si vous pouvez entendre ce message, écoutez, cette vérité est pour vous quand vous souffrez en fait. Parce que quand vous souffrez en fait, il peut être trés facile d’oublier ces paroles; d’oublier ces réalités. Quand Dieu amène la discipline sur vous qui est exceptionnellement sévère et douloureuse, nous pouvons être tenté comme Pierre. Vous savez, il est dit à Pierre, « Tu vas souffrir Pierre. » Et il dit, « Bon, et ce gars? » Et c’est souvent, d’un coup, bang! nous souffrons. C’est comme si nous regardions autour, « Et eux? Pourquoi m’avoir choisi, moi, Seigneur? » quand la vérité est qu’Il ne vous a pas sélectionné.

Je peux me rappelez lisant l’histoire une fois d’un chrétien qui vint vers un autre chrétien et qui a dit, « Tu sais, j’avais des questions sur ton salut. » Et le gars a dit, « Pourquoi? » Et il a dit, « Parce que je n’ai jamais vu aucune épreuve dans ta vie. » Et l’autre homme a éclaté en sanglots. Et vous savez pourquoi il a fait ça? Parce qu’il souffrait d’une manière que le premier gars ne pouvait pas voir. Et souvent, nous souffrons de ça. Souvent, nous pensons, « Oh, nous souffrons, nous seuls. » Non. Par beaucoup de tribulations, tout le peuple de Dieu entre dans ce Royaume. Beaucoup de tribulations. Et quelques fois, nous pouvons être vraiment myopes. Mais nous allons à cet endroit. Nous pouvons dire, « Seigneur, pourquoi, pourquoi moi, pourquoi maintenant, pourquoi ceci arrive-t-il? » C’est souvent. Job posait la même question. Rappelez-vous de Job, il demande. « Pourquoi Eternel, pourquoi? » Et en fait c’est que nous avons tendance à être très conscients de nos propre souffrance. Et vous savez pourquoi? Parce que nous sommes ceux qui ressentont la douleur.

Je ne peux pas toujours vous regarder, et voir, et reconnaitre, « Oh, quelque chose de douloureux. » Vous savez, vous perdez un enfant, vous perdez votre travail, je peux le voir. Je peux me mettre à cette place. Mais il y a beaucoup de choses contre lesquelles nous luttons, que les autres personnes ne peuvent pas voir. Il y a des choses qui arrivent dans la famille, il y a des choses qui arrivent ici, c’est la guerre qui a lieu ici, il y a des batailles de façon démoniaque que les autres personnes ne voient pas. Il y a des chemins sur lesquels nous nous épuisons, il y a des chemins sur lesquels nous nous décourageons, que les autres personnes ne voient pas. Il y a des larmes qui coulent que personne ne voit sauf le Seigneur, que souvent, notre époux(se) ne voit même pas. Il y a des batailles que nous traversons. Et donc, nous pouvons être de très mauvais juges, en fait, de la souffrance des autres personnes. Quand c’est nous, nous la sentons, nous le savons. Nous pouvons être, assez souvent, insensibles et ignorants des routes difficiles sur lesquelles les autres sont appelés à voyager. Et dans notre ignorance, souvent, quand la douleur cinglante nous est infligée, nous avons tendance à poser ces questions, « Seigneur, pourquoi moi, pourquoi moi? Je ne vois pas que les autres personnes sont appelées à marcher sur le chemin sur lequel tu m’appelles à marcher. Pourquoi maintenant? »

Comment répondons-nous? Et bien, je vais y répondre. « Pourquoi moi? » Voici la réponse : parce que Dieu vous aime. « Pourquoi maintenant? » Parce que Dieu ne connait aucun meilleur moment pour vous rendre plus saint et plus semblable à Lui que maintenant. C’est la meilleure réponse que je puisse vous donner.

Et la question 6, « Que signifie la seconde moitié du verset 9? » « Ne devons-nous pas à bien plus forte raison nous soumettre au Père des esprits, pour avoir la vie? » Avez-vous tous remarqué ‘vie’ ici? Je trouve que ce petit ‘vivre ou mourir’ se trouve à différents endroits tout au long de l’Ecriture. Nous pouvons avoir tendance à le rater. Reconnaissez-vous ce qui est dit là? C’est quasiment comme dans Romains 8:13, « Mais si par l’Esprit, vous faites mourir les actions du corps, vous vivrez. » C’est souvent dans l’Ecriture que cela semble vraiment orienté sur les oeuvres. Vous savez pourquoi? Parce que la grâce produit toujours ces choses, et si elle ne le fait pas, c’est une indication de mort. Nous avons entendu dans la première heure, la Puissance! Il y a la puissance! Il y a des gens qui professent cette forme de sainteté mais ils en renient la puissance. Bon, je vais vous dire ceci, si vous êtes vraiment sauvés, cette puissance va se révéler dans la manière dont vous souffrez. Vous remarquez ce qui est dit. Vous pouvez retourner ce truc. Etre soumis au Père des esprits et vivre, ou prenez-le de façon négative, (vous savez, si vous retournez au verset 5, « Ne méprise pas le châtiment du Seigneur, ») Bon, vous pouvez regarder de façon légère la discipline de Dieu, vous rebeller contre le Père des esprits – et quoi? Quel est le dernier mot? – et mourir. C’est le contraire.

Le chemin de la vie, c’est intéressant, souvent l’Ecriture nous donne ce chemin de la vie. Comme je pense sortant directement de Romains 6:22 où vous avez comme un déluge. Vous savez, nous sommes libérés du péché, nous devenons esclaves de Dieu, nous portons des fruits, la sanctification, la fin, la vie éternelle. Par l’Esprit, vous mettez à mort les actions du corps, vous vivez. Votre esprit fixé sur les choses de la chair, vous mourez. Ici, vous, soyez soumis au Père des lumières, vous vivez. Vous estimez de façon légère la discipline de votre Père et vous vous rebellez contre Lui quand Il inflige Sa douleur, et vous mourez. Et c’est ce que nous voyons. Le monde se rebellant contre les mouvements de Dieu. Dieu a dit dans les Ecritures, Il frappe les non-sauvés pour qu’ils puissent fuir vers Lui; qu’ils puissent se tourner vers Lui. C’est la faute des gens. « Je les frappe et ils ne se tournent pas vers Moi. »

Etre soumis à Dieu, c’est relié à la vie ici. Mais reconnaissez-vous ce qui est dit? Dieu est peut-être souverain sur la douleur qu’Il m’inflige, mais quelle est ma responsabilité? C’est de m’y soumettre. C’est ma responsabilité. Et que signifie être soumis? Etre obéissant. Cela signifie que quand Dieu me frappe, bien que cela puisse être si dur, je m’efforce dans la puissance de Christ de continuer à marcher sur le chemin de l’obéissance. Et c’est la tentation, n’est-ce pas? La tentation est d’autant plus grande quand la douleur est d’autant plus grande, de ne pas se soumettre à mon Père. C’est très facile d’être chrétien quand il n’y a aucune douleur, chagrin, souffrance ou épreuve. Quand sommes-nous mis à l’épreuve? La même manière dont Jésus a été mis à l’épreuve. N’est-ce pas? N’est-il pas dit dans Hébreux 5 que, bien qu’Il fut Fils, Il a appris l’obéissance par ce qu’Il a souffert. Chaque parcelle de souffrance comme elle s’intensifiait et comme elle augmentait, Jésus en est l’exemple. Regardez-Le. Considérez l’angoisse d’un Homme qui transpire du sang, et quels mots sortent de Sa bouche? « Ta volonté, pas la Mienne. » C’est à cela que nous sommes appelés ici, à suivre les pas de notre Maitre quand la vie est difficile. Etre soumis au Père des lumières, qui est le chemin de la vie. Jésus est notre exemple totalement glorieux. Vous Le voyez apprendre l’obéissance. A chaque fois que sa souffrance augmentait, Il obéissait et Il se soumettait. Il est là dans ce jardin, et Il est mis à l’épreuve. La douleur; quelle douleur fait qu’un homme transpire du sang? Quelle angoisse de l’âme! Et pourtant, Il s’est abandonné à la volonté de Son Père. C’est l’image que nous avons ici. C’est le chemin de la vie : Continuer dans l’obéissance; se soumettre au Père quand nous avons mal.

Maintenant, voici la dernière question. C’en est une à laquelle vous devez répondre, pas moi. Etes-vous prêts à accepter ça? Etes-vous prêts à accepter le fait que vous avez un Dieu, qui pour votre propre bien, Il peut prendre votre santé, Il peut prendre votre argent, Il peut prendre votre maison, Il peut prendre votre femme, Il peut prendre votre mari, Il peut prendre vos enfants, Il peut prendre votre vie, Il peut prendre votre confort, Il peut prendre votre bien-être, Il peut vous demander de marcher sur une route amère et douloureuse. Etes-vous prêts à accepter un tel Dieu, qui, pour votre bien, va amener la douleur dans votre vie? Allez-vous être soumis à Dieu quand ça arrivera? Et ça arrive. Si vous êtes un enfant, cela vient ou c’est déjà sur vous. Ou allez-vous regimber, et résister, et lutter contre ce Dieu et demander qu’Il rende compte de Lui-même. « Je ne vais pas me soumettre, je veux une réponse. Pourquoi? Et je ne suis pas satisfait de ne pas avoir de réponse. »

Hébreux veut que nous connaissions notre Dieu comme un Père qui discipline. Reconnaitre et recevoir cette vérité est extrêmement important pour connaitre votre Dieu, et pour vivre par la foi, et pour avoir confiance en Lui quand toutes les fondations semblent s’effondrer. Etes-vous prêts à accepter que votre douleur ne soit pas le résultat de la haine de Dieu envers vous? Votre douleur, si vous êtes chrétien, est le résultat de l’amour infini de Dieu envers vous. Vous croyez ça? L’acceptez-vous? Croyez-vous, dans votre douleur, que vous n’êtes pas traités de manière injuste? Croyez-vous que vous n’êtes pas, quand vous souffrez, traités comme un beau-fils (une belle-fille)? Vous pensez à Cendrillon. la mère est partiale. N’allez-vous pas tomber pour ça? Parce que je vais vous dire, quand vous souffrez, vous savez qui est juste là à côté de vous? Le diable est là à côté de vous, et il va vous dire, « Regarde ton Dieu. Regarde comment Il te traite. Allah ne traite pas son peuple aussi mal que ça. Regarde par où Il te fait passer. Tu appelles ça un Père aimant? » Allez-vous dire, « Non, c’est parce que la Parole de Dieu me le dit. » Ces passages que nous regardons aujourd’hui sont-ils suffisants aujourd’hui pour vous quand cette heure viendra, que vous croirez ça? Ou allez-vous être plus conduits à croire « Il me traite comme un ennemi ou un exclave. »

Ces vérités ont pour but de nous donner cette fondation solide comme le roc que, quand la souffrance arrive, vous n’êtes pas traités comme un ennemi ou un beau-fils (ou une belle-fille), vous êtes traités comme celui pour qui Dieu a envoyé Son Fils mourir. C’est comme cela que vous êtes traités. Celui que le Père aime d’un amour merveilleux; un amour incompréhensible. La question est : êtes-vous prêts à l’accepter? Laisserez-vous la Parole de Dieu dans ces versets s’installer dans votre cerveau et répondre à la question pour vous? Pour que, quand la souffrance vient, vous n’attaquez pas Dieu, vous ne prétendez pas qu’Il est un monstre, ou un terroriste ou méchant. Quand votre souffrance vient, tout comme avec Job, Dieu ne va vraisemblablement pas vous dire pourquoi. Vous devez souffrir là à ce moment-là. Pourquoi. C’est à votre tour de souffrir. Et pourquoi vous devez souffrir aussi brusquement, aussi profondément, et pendant aussi longtemps que vous êtes faits pour souffrir, Job n’a jamais eu de réponse même si Dieu lui est apparu. Quand vous n’obtenez pas de réponse, allez-vous être en paix? Allez-vous l’accepter? Parce que, ce que ce verset nous dit, c’est ce que nous avons besoin de savoir. Et pourquoi? D’habitude, Il ne pense pas que nous devions savoir.

Quand ça arrive, quand ça vient, allez-vous être capable d’être en paix dans l’amour d’un Père plein de sagesse envers Son enfant? Allez-vous Lui faire confiance? Et, enfant de Dieu, vous en avez besoin. Vous avez besoin de ces paroles, parce que si non, vous n’êtes pas un enfant légitime. Vous en avez besoin. Vous devez y préter attention.